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"Toutes les discussions en rapport avec "le monde Porsche" et le Club911.net, actualités, informations, médias, réunions ou rdvs informels entre Porschistes, hors sorties officielles du club. Nous vous informons que les rencontres organisées entre membres et postées ici sont considérées comme non officielles. En conséquence aucune responsabilité ne pourra être recherchée auprès du club quant à l'organisation ou le déroulement de ces sorties. Il vous est néanmoins nécessaire d'obtenir l'accord de votre délégué avant de poster une sortie."
Petite info du jour....ça calme !!!!

L'été dernier, un conducteur français circulait au volant d'une Ferrari sur l'autoroute A12, tronçon où la vitesse est limitée à 120 km/h. Lors d’un contrôle de vitesse effectué par la police fribourgeoise avec un appareil radar, ce véhicule a été enregistré à 250 km/h, rappelle le communiqué du juge d'instruction. En déduisant la marge de tolérance de 7 km/h, il a commis un dépassement de vitesse de 123 km/h.
Par ordonnance pénale prononcée la semaine dernière, le juge d'instruction Michel Favre l'a reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière et l'a condamné à une peine de 150 jours-amendes, dont 50 jours-amende fermes et le solde, soit 100 jours-amendes, avec sursis pendant 5 ans.
Le montant du jour amende, sur la base de la situation financière très confortable du conducteur, a été fixé à 1390 francs. Le condamné devra donc s'acquitter d'un montant de 69 500 fr. dans un délai de 90 jours.
Pour fixer la quotité de la peine, le juge d'instruction a pris en considération la présence d'antécédents en matière d'excès de vitesse ainsi que la culpabilité lourde en rapport avec la faute commise.
En effet, l'excès de vitesse reproché figure parmi les plus importants constatés à ce jour par la gendarmerie fribourgeoise. Un tel comportement, même si les conditions de circulation sont bonnes, met très lourdement en danger la sécurité du trafic et des autres usagers de la route, souligne le juge d'instruction.
Preuve en est simplement le fait qu'en présence d'un danger quelconque, le conducteur qui respecte la limitation de 120 km/h est en mesure d'immobiliser son véhicule, en cas de freinage d'urgence, sur une distance de 106,93 mètres. En roulant à 243 km/h, la distance d'arrêt s'élève à 360,69 mètres, soit 3,5 fois plus.
Plus parlant encore, en cas de freinage d'urgence, l'automobiliste qui roule à 243 km/h au lieu de respecter la limitation de 120 km/h circule encore, à l'endroit où il se serait totalement arrêté s'il avait roulé à 120 km/h, à une vitesse de 230,82 km/h.
Le Ministère public et le condamné ont tous deux 3o jours pour former opposition. Le communiqué ne dit rien sur la durée du retrait


L'été dernier, un conducteur français circulait au volant d'une Ferrari sur l'autoroute A12, tronçon où la vitesse est limitée à 120 km/h. Lors d’un contrôle de vitesse effectué par la police fribourgeoise avec un appareil radar, ce véhicule a été enregistré à 250 km/h, rappelle le communiqué du juge d'instruction. En déduisant la marge de tolérance de 7 km/h, il a commis un dépassement de vitesse de 123 km/h.
Par ordonnance pénale prononcée la semaine dernière, le juge d'instruction Michel Favre l'a reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière et l'a condamné à une peine de 150 jours-amendes, dont 50 jours-amende fermes et le solde, soit 100 jours-amendes, avec sursis pendant 5 ans.
Le montant du jour amende, sur la base de la situation financière très confortable du conducteur, a été fixé à 1390 francs. Le condamné devra donc s'acquitter d'un montant de 69 500 fr. dans un délai de 90 jours.
Pour fixer la quotité de la peine, le juge d'instruction a pris en considération la présence d'antécédents en matière d'excès de vitesse ainsi que la culpabilité lourde en rapport avec la faute commise.
En effet, l'excès de vitesse reproché figure parmi les plus importants constatés à ce jour par la gendarmerie fribourgeoise. Un tel comportement, même si les conditions de circulation sont bonnes, met très lourdement en danger la sécurité du trafic et des autres usagers de la route, souligne le juge d'instruction.
Preuve en est simplement le fait qu'en présence d'un danger quelconque, le conducteur qui respecte la limitation de 120 km/h est en mesure d'immobiliser son véhicule, en cas de freinage d'urgence, sur une distance de 106,93 mètres. En roulant à 243 km/h, la distance d'arrêt s'élève à 360,69 mètres, soit 3,5 fois plus.
Plus parlant encore, en cas de freinage d'urgence, l'automobiliste qui roule à 243 km/h au lieu de respecter la limitation de 120 km/h circule encore, à l'endroit où il se serait totalement arrêté s'il avait roulé à 120 km/h, à une vitesse de 230,82 km/h.
Le Ministère public et le condamné ont tous deux 3o jours pour former opposition. Le communiqué ne dit rien sur la durée du retrait
Cela me rappel une histoire vécu en France sur l’autoroute du soleil au début des années 90.
Je roulais alors en 924 tranquillement à environ 120 km/h dans la file de droit, un peu de monde sur la route sans plus, et voila que dans mon reto je vois surgir une Ferrari sur la voie de gauche à vive allure, devant moi un camping-car entame un dépassement pour une raison que je n’ai pas compris jute devant le nez de la Ferrari, le conducteur de la F.. qui semblait métriser son bolide ; gros freinage derrière camping-car sans le toucher, mais juste derrière la Ferrari suivais une Alfa 75 turbo tout contant le conducteur qu’une Ferrari lui ouvre la route. Mais le freinage de l’alfa (malgré une distance entre la Ferrari et l’Alfa plus grande me semblai t’il, que celle entre le camping car et la Ferrari). Elle na pue évité la Ferrari et c’est dans un fracas dans le rail de sécurité et dans l’arrière de la Ferrari que s’est terminer la course de l’Alfa, moi c’est sur la bande d’arrêt d’urgence que je me suis refugier. Personne blessé fort heureusement.
Moralité les distance de freinage n’étant pas les même entre les différentes autos (mise a pas du reflex du conducteur) je trouve l’argument du juge inapproprié !!!
Je roulais alors en 924 tranquillement à environ 120 km/h dans la file de droit, un peu de monde sur la route sans plus, et voila que dans mon reto je vois surgir une Ferrari sur la voie de gauche à vive allure, devant moi un camping-car entame un dépassement pour une raison que je n’ai pas compris jute devant le nez de la Ferrari, le conducteur de la F.. qui semblait métriser son bolide ; gros freinage derrière camping-car sans le toucher, mais juste derrière la Ferrari suivais une Alfa 75 turbo tout contant le conducteur qu’une Ferrari lui ouvre la route. Mais le freinage de l’alfa (malgré une distance entre la Ferrari et l’Alfa plus grande me semblai t’il, que celle entre le camping car et la Ferrari). Elle na pue évité la Ferrari et c’est dans un fracas dans le rail de sécurité et dans l’arrière de la Ferrari que s’est terminer la course de l’Alfa, moi c’est sur la bande d’arrêt d’urgence que je me suis refugier. Personne blessé fort heureusement.
Moralité les distance de freinage n’étant pas les même entre les différentes autos (mise a pas du reflex du conducteur) je trouve l’argument du juge inapproprié !!!
Message original : Bob49
Cela me rappel une histoire vécu en France sur l’autoroute du soleil au début des années 90.
Je roulais alors en 924 tranquillement à environ 120 km/h dans la file de droit, un peu de monde sur la route sans plus, et voila que dans mon reto je vois surgir une Ferrari sur la voie de gauche à vive allure, devant moi un camping-car entame un dépassement pour une raison que je n’ai pas compris jute devant le nez de la Ferrari, le conducteur de la F.. qui semblait métriser son bolide ; gros freinage derrière camping-car sans le toucher, mais juste derrière la Ferrari suivais une Alfa 75 turbo tout contant le conducteur qu’une Ferrari lui ouvre la route. Mais le freinage de l’alfa (malgré une distance entre la Ferrari et l’Alfa plus grande me semblai t’il, que celle entre le camping car et la Ferrari). Elle na pue évité la Ferrari et c’est dans un fracas dans le rail de sécurité et dans l’arrière de la Ferrari que s’est terminer la course de l’Alfa, moi c’est sur la bande d’arrêt d’urgence que je me suis refugier. Personne blessé fort heureusement.
Moralité les distance de freinage n’étant pas les même entre les différentes autos (mise a pas du reflex du conducteur) je trouve l’argument du juge inapproprié !!!