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Avis à tous les historiens et autres témoins de tous poils: la Normandie n’a pas été le seul théâtre du débarquement!
La preuve dans ce qui suit, et l'histoire que voici.
Comme tout un chacun, votre culture et votre grande connaissance de l’histoire de la marque fait que vous savez que les States ont depuis longtemps accueillis flat4 et grenouilles. Pas toutes les versions, mais certaines en quantité ... respectable.
Par exemple, les E T (pas téléphone maison !
), et aussi les 911+1, ont connues une large diffusion outre flaque, à tel point que, celles que nous croisons dans nos vertes campagnes françaises, en proviennent souvent ! 
La preuve dans ce qui suit, et l'histoire que voici.

Comme tout un chacun, votre culture et votre grande connaissance de l’histoire de la marque fait que vous savez que les States ont depuis longtemps accueillis flat4 et grenouilles. Pas toutes les versions, mais certaines en quantité ... respectable.

Par exemple, les E T (pas téléphone maison !


Et bien l’une d’elles, vient ainsi de toucher terre sur nos côtes
!
Oh pas directement, car elle a beaucoup voyagé depuis ses débuts et son premier quart de siècle fut entièrement passé sur la côte Ouest, la californienne. Ce fut sa période sea, sun and surf, et cela entre les mains, de son seul et unique propriétaire yankee.
De retour sur le vieux continent, son parcours s’est ensuite poursuivi dans l’autre pays du fromage, où elle a vécu au calme, dans une collection privée. Enfin calme, seulement après avoir eu droit à un lifting complet (peut-être devrais-je plutôt dire une restauration) pour lui redonner tout son éclat d’antan. Finies, les mèches décolorées et les tenues trash, un certain classicisme et une belle robe couleur d’époque sont (re)devenus ses attributs quotidiens. Cela était d’autant plus d’actualité que le dit propriétaire, internationalement connu, l’a accueilli au milieu de Bugatti type 37 et 43, ainsi que d’autres rares beautés anciennes (Talbot Lago, Alfa Roméo…), une douzaine d’années durant.

Oh pas directement, car elle a beaucoup voyagé depuis ses débuts et son premier quart de siècle fut entièrement passé sur la côte Ouest, la californienne. Ce fut sa période sea, sun and surf, et cela entre les mains, de son seul et unique propriétaire yankee.
De retour sur le vieux continent, son parcours s’est ensuite poursuivi dans l’autre pays du fromage, où elle a vécu au calme, dans une collection privée. Enfin calme, seulement après avoir eu droit à un lifting complet (peut-être devrais-je plutôt dire une restauration) pour lui redonner tout son éclat d’antan. Finies, les mèches décolorées et les tenues trash, un certain classicisme et une belle robe couleur d’époque sont (re)devenus ses attributs quotidiens. Cela était d’autant plus d’actualité que le dit propriétaire, internationalement connu, l’a accueilli au milieu de Bugatti type 37 et 43, ainsi que d’autres rares beautés anciennes (Talbot Lago, Alfa Roméo…), une douzaine d’années durant.

Et bien l’une d’elles, vient ainsi de toucher terre sur nos côtes !Oh pas directement, car elle a beaucoup voyagée depuis ses débuts et son premier quart de siècle fut entièrement passé sur la côte Ouest, la californienne. Ce fut sa période sea, sun and surf, et ceux entre les mains, de son seul et unique propriétaire américain. De retour sur le vieux continent, son parcours s’est ensuite poursuivi dans l’autre pays du fromage, où elle a vécu au calme, dans une collection privée. Enfin calme, seulement après avoir eu droit à un lifting complet (peut-être devrais-je plutôt dire une restauration) pour lui redonner tout son éclat d’antan. Finies, les mèches décolorées et les tenues trash, un certain classicisme et une belle robe couleur d’époque sont (re)devenus ses attributs quotidiens. Cela était d’autant plus d’actualité que le dit propriétaire, internationalement connu, l’a accueilli au milieu de Bugatti type 37 et 43, ainsi que d’autres rares beautés anciennes (Talbot Lago, Alfa Roméo…), une douzaine d’années durant.
Et cela se poursuit ainsi

Et c’est la mort dans l’âme (ou plus exactement au décès de son collectionneur de père protecteur), qu’elle a alors traversé le Channel pour vivre au pays du pudding, des Beatles et de leur yellow submarine. Des années passées finalement actives, à arpenter les haut lieux de la compétition automobile, mais en simple spectatrice. :)
Sauf une fois, lors de son arrivée sur le sol britannique, où elle a eu droit à une célébrité certaine en participant activement à la vente aux enchères de la célèbre maison Bonhams, lors du Silverstone Classic 2008. Photos et pedigree trônant fièrement sur une pleine page du catalogue de la vente, elle y a trouvé son troisième propriétaire, un sujet de sa royale Majesté.

Pour l’anecdote, lors de cette vente, outre une série 0 de 1967, une 956 vu vendue : celle de J Palmer/B Wolleck/ M Baldi n°14 aux couleurs Canon et bien d’autres très belles autos.

