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Débarquement sur la côte nord bretonne. 
Et là, elle va enlever le haut (pour le bas, on attendra un peu !), car ici, la douceur de la météo invite les indigènes, comme les vieilles anglaises, nombreuses, à se dénuder du haut, lors des sorties, en toutes saisons (ndlr : le port de la coiffe traditionnelle se perd un peu en Bretagne !).
C’est ici aussi, qu’elle va pouvoir partager son temps avec une cousine germaine (oui facile, je sais !), dont la couleur a été rendu célèbre, par une star internationale du grand écran : Steve Mc Queen himself et sa 911 gris slate, toujours dans le film « Le Mans ».
C’est le lien qui réunit ces deux autos, dans le même garage car point de vue couleur, le contraste des deux côte à côte, est aussi saisissant qu’un sorbet citron glacé, servi sur une ardoise !

Bref, comme vous pouvez l’imaginer, je suis heureux de pouvoir respirer un doux parfum d’huile chaude mélangé à l’odeur de l’iode locale et cela cheveux au vent (enfin ce qu’il en reste…des cheveux).
Assez parlé, place aux premières photos et au récit de son retour en bord de mer.
And the winner... ou plutôt son année et son modèle :)

72 trapaouile
Et parce que trappe à huile , cela commence par...




Et là, elle va enlever le haut (pour le bas, on attendra un peu !), car ici, la douceur de la météo invite les indigènes, comme les vieilles anglaises, nombreuses, à se dénuder du haut, lors des sorties, en toutes saisons (ndlr : le port de la coiffe traditionnelle se perd un peu en Bretagne !).
C’est ici aussi, qu’elle va pouvoir partager son temps avec une cousine germaine (oui facile, je sais !), dont la couleur a été rendu célèbre, par une star internationale du grand écran : Steve Mc Queen himself et sa 911 gris slate, toujours dans le film « Le Mans ».
C’est le lien qui réunit ces deux autos, dans le même garage car point de vue couleur, le contraste des deux côte à côte, est aussi saisissant qu’un sorbet citron glacé, servi sur une ardoise !



Bref, comme vous pouvez l’imaginer, je suis heureux de pouvoir respirer un doux parfum d’huile chaude mélangé à l’odeur de l’iode locale et cela cheveux au vent (enfin ce qu’il en reste…des cheveux).
Assez parlé, place aux premières photos et au récit de son retour en bord de mer.
And the winner... ou plutôt son année et son modèle :)

72 trapaouile

Et parce que trappe à huile , cela commence par...



C’est par une belle journée ensoleillée
de novembre, que débute le périple, direction la Sarthe.
Une certaine impatience à l'idée d'une belle rencontre est toujours au rendez-vous, et autoroute et quatre voies ont été privilégiés pour le voyage aller. Comme d’habitude, mon fidèle copilote est de la partie et le temps de trajet est occupé à parler vieilleries (lui a eu sa période Porsche mais est actuellement plutôt vieilles anglaises !). :)
Arrivés sur place, la « trappe à huile » nous attend et nous illumine de son éclat naturel. L’aimable propriétaire et amateur de belles autos nous accueille avant d’aller faire le classique tour du « propriétaire » pour s’assurer qu’elle est toujours égale à elle-même (la première rencontre remonte déjà à un peu plus d’un mois !). Elle a été apprêtée et brille véritablement.
Présent également à cette occasion, un GM de ce forum convaincu du charme des Classics et chassant aussi une Targa est, je crois, sous le charme !
Nul doute que sa quête du Graal, va bientôt se concrétiser
Le dernier examen avant signature confirme le très bel état et l’épais dossier de factures, le catalogue de la vente Bonhams de 2008 et bien d’autres font partie du package.
Bref, après la quiétude des formalités administratives, place au récital du flat6 !
Et là, bien qu’habitué à ce doux son, force est de reconnaître que carbus et injection ne restituent pas la même mélodie.
Les premiers kilomètres, effectués à allure modérée pour laisser chauffer la mécanique et chasser un puits de SP98 sur le bord de la route ont tenus lieu de prise en mains. Ensuite, ce furent environ 200 km de plaisir tant à son volant dans la première partie qu’en tant que suiveur dans la seconde partie à entendre chanter le flat6 et admirer son postérieur.
Les retrouvailles avec la cousine germaine tapie dans son garage, se firent sans encombre, la « yellow » 911 ayant démontrée être même particulièrement bien affûtée, lors de son retour.
Bref, un grand bonheur que cette nouvelle venue (ce récit tiendra lieu de faire-part
)!


Une certaine impatience à l'idée d'une belle rencontre est toujours au rendez-vous, et autoroute et quatre voies ont été privilégiés pour le voyage aller. Comme d’habitude, mon fidèle copilote est de la partie et le temps de trajet est occupé à parler vieilleries (lui a eu sa période Porsche mais est actuellement plutôt vieilles anglaises !). :)
Arrivés sur place, la « trappe à huile » nous attend et nous illumine de son éclat naturel. L’aimable propriétaire et amateur de belles autos nous accueille avant d’aller faire le classique tour du « propriétaire » pour s’assurer qu’elle est toujours égale à elle-même (la première rencontre remonte déjà à un peu plus d’un mois !). Elle a été apprêtée et brille véritablement.
Présent également à cette occasion, un GM de ce forum convaincu du charme des Classics et chassant aussi une Targa est, je crois, sous le charme !
Nul doute que sa quête du Graal, va bientôt se concrétiser

Le dernier examen avant signature confirme le très bel état et l’épais dossier de factures, le catalogue de la vente Bonhams de 2008 et bien d’autres font partie du package.
Bref, après la quiétude des formalités administratives, place au récital du flat6 !

Et là, bien qu’habitué à ce doux son, force est de reconnaître que carbus et injection ne restituent pas la même mélodie.
Les premiers kilomètres, effectués à allure modérée pour laisser chauffer la mécanique et chasser un puits de SP98 sur le bord de la route ont tenus lieu de prise en mains. Ensuite, ce furent environ 200 km de plaisir tant à son volant dans la première partie qu’en tant que suiveur dans la seconde partie à entendre chanter le flat6 et admirer son postérieur.
Les retrouvailles avec la cousine germaine tapie dans son garage, se firent sans encombre, la « yellow » 911 ayant démontrée être même particulièrement bien affûtée, lors de son retour.
Bref, un grand bonheur que cette nouvelle venue (ce récit tiendra lieu de faire-part

