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Membre cotisant
n°2319




Allez encore une ! Deux semaines que je scrute la météo et tous les voyants sont au vert : grand beau sur le Vercors aujourd'hui 
Lever 5h30 à Paris pour prendre le premier TGV et à 9H à Lyon, douche froide : brume épaisse, routes trempées...
Je me tâte mais le désir de faire de la moto est trop fort, je tente :)
Le départ n'est pas glop. 7 degrés, humidité à couper au couteau, heureusement que la Husky a selle et poignées chauffantes sinon je ne serais probablement pas sorti en moto.

La route qui me mène au Vercors, via Diemoz, la côte saint André, Roybon, est mi sèche mi humide : tous les sous bois sont trempés, les parties en plaine sèches.
La très bonne nouvelle c'est qu'il fait beau, à peine 10 kms après le départ c'était plein soleil
Dans le Royans de mieux en mieux, presque tout sec, de bonne augure pour la suite
Patatras ! Dès le premier virage de la montée dans le Vercors, route trempée... Et ça ne séchera jamais
Quelques virages plus loin, de la neige sur le bas côté à l'ombre
euh, il a neigé quand ??
De beaux panneaux attention verglas me mettent le doute malgré les 10 degrés ambiant, donc j'avance en me trainant comme jamais. Bon, au moins il y a le soleil, et absolument personne.
Arrivé au col de la Machine et environs, je prends quelques photos et me tâte : faire demi tour ou tenter d'aller plus loin ?



Allez, je tente le Rousset ! C'est pas juste à côté mais souvent le temps y est plus sec et chaud.
Je passe par Fond d'Urle où j'en profite pour faire un peu de hors piste


J'ai bien patiné au démarrage
On va rester sur le bitume...
Passage par Vassieux puis arrivée au Rousset. Pour ceux qui connaissent, on traverse le tunnel et on a l'impression d'avoir changé de pays, ou de saison. 5 degrés de plus, soleil, route sèche

10 min de pause casse croute et c'est parti pour une première descente, puis une première remontée

Arrivé en haut, les photos sont obligatoires.

Et comme c'est la seule route sèche du coin, et accessoirement elle est plutôt sympathique
, je me refais une descente, puis une nouvelle montée, puis une nouvelle descente, et encore une montée 
3 allers retours durant lesquels j'ai pas croisé ou doublé grand monde. Température idéale, motards se comptant sur les doigts d'une main, pas un camping car, pas un vélo : le paradis


Au bout du 3eme aller retour je sens la fatigue qui pointe le bout de son nez, il faut dire que je secoue un peu la moto et c'est la première fois que je prends vraiment fond de 2 et 3, parfois 4, régulièrement. Je tape un peu dans les freins aussi. Mine de rien ça demande un peu de concentration. Elle a beau être mid size, elle n'est pas un poids plume comme mes autres motos donc à la longue ça tire dans les bras et les jambes. Elle est particulièrement fatiguante dans les changements d'angle rapides.
Puis le retour s'effectue par le même chemin.

Le grand Veymont en toile de fond

Je ne fais peut-être pas de piste avec, mais ce n'est pas une garage queen


Bilan positif malgré pas mal de stress dû aux conditions. J'ai même vu à un endroit de la neige bien compacte encore sur la route, à l'ombre : heureusement j'arrivais tout doucement et j'ai pu passer sur la voie d'en face qui était déserte.
Cette moto est étonnante de facilité. On va vraiment vite sans faire beaucoup d'effort, en revanche passé un point ça devient plus délicat et il faudrait jouer avec les réglages châssis pour qu'elle gigote moins au freinage et à l'accélération. Je suis toujours en réglage d'origine, je n'ai touché à rien
6h de moto de plus
Et comme j'en avais pas assez, j'ai sorti le RG en fin de journée, de nuit. C'est terrifiant
le code éclaire comme une bougie donc j'ai roulé en plein phares et j'ai eu un seul appel de phare sur une centaine de voitures croisées, donc ça va 

Lever 5h30 à Paris pour prendre le premier TGV et à 9H à Lyon, douche froide : brume épaisse, routes trempées...
Je me tâte mais le désir de faire de la moto est trop fort, je tente :)
Le départ n'est pas glop. 7 degrés, humidité à couper au couteau, heureusement que la Husky a selle et poignées chauffantes sinon je ne serais probablement pas sorti en moto.
La route qui me mène au Vercors, via Diemoz, la côte saint André, Roybon, est mi sèche mi humide : tous les sous bois sont trempés, les parties en plaine sèches.
La très bonne nouvelle c'est qu'il fait beau, à peine 10 kms après le départ c'était plein soleil

Dans le Royans de mieux en mieux, presque tout sec, de bonne augure pour la suite

Patatras ! Dès le premier virage de la montée dans le Vercors, route trempée... Et ça ne séchera jamais

Quelques virages plus loin, de la neige sur le bas côté à l'ombre

De beaux panneaux attention verglas me mettent le doute malgré les 10 degrés ambiant, donc j'avance en me trainant comme jamais. Bon, au moins il y a le soleil, et absolument personne.
Arrivé au col de la Machine et environs, je prends quelques photos et me tâte : faire demi tour ou tenter d'aller plus loin ?
Allez, je tente le Rousset ! C'est pas juste à côté mais souvent le temps y est plus sec et chaud.
Je passe par Fond d'Urle où j'en profite pour faire un peu de hors piste

J'ai bien patiné au démarrage

On va rester sur le bitume...
Passage par Vassieux puis arrivée au Rousset. Pour ceux qui connaissent, on traverse le tunnel et on a l'impression d'avoir changé de pays, ou de saison. 5 degrés de plus, soleil, route sèche

10 min de pause casse croute et c'est parti pour une première descente, puis une première remontée
Arrivé en haut, les photos sont obligatoires.
Et comme c'est la seule route sèche du coin, et accessoirement elle est plutôt sympathique


3 allers retours durant lesquels j'ai pas croisé ou doublé grand monde. Température idéale, motards se comptant sur les doigts d'une main, pas un camping car, pas un vélo : le paradis

Au bout du 3eme aller retour je sens la fatigue qui pointe le bout de son nez, il faut dire que je secoue un peu la moto et c'est la première fois que je prends vraiment fond de 2 et 3, parfois 4, régulièrement. Je tape un peu dans les freins aussi. Mine de rien ça demande un peu de concentration. Elle a beau être mid size, elle n'est pas un poids plume comme mes autres motos donc à la longue ça tire dans les bras et les jambes. Elle est particulièrement fatiguante dans les changements d'angle rapides.
Puis le retour s'effectue par le même chemin.
Le grand Veymont en toile de fond
Je ne fais peut-être pas de piste avec, mais ce n'est pas une garage queen

Bilan positif malgré pas mal de stress dû aux conditions. J'ai même vu à un endroit de la neige bien compacte encore sur la route, à l'ombre : heureusement j'arrivais tout doucement et j'ai pu passer sur la voie d'en face qui était déserte.
Cette moto est étonnante de facilité. On va vraiment vite sans faire beaucoup d'effort, en revanche passé un point ça devient plus délicat et il faudrait jouer avec les réglages châssis pour qu'elle gigote moins au freinage et à l'accélération. Je suis toujours en réglage d'origine, je n'ai touché à rien

6h de moto de plus

Et comme j'en avais pas assez, j'ai sorti le RG en fin de journée, de nuit. C'est terrifiant


rpaddicted a écrit : ... le code éclaire comme une bougie donc j'ai roulé en plein phares et j'ai eu un seul appel de phare sur une centaine de voitures croisées, donc ça va![]()

Raph a écrit :Comme je n'ai que des vieilles motos en ce moment et bien je ne roule qu'en plein phare de nuit. Sans soucis aucun. Sinon, c'est super dangereux quand tu croises une voiture moderne, tu n'y vois absolument rienrpaddicted a écrit : ... le code éclaire comme une bougie donc j'ai roulé en plein phares et j'ai eu un seul appel de phare sur une centaine de voitures croisées, donc ça va![]()
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