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Les récits de vos roadtrips, les roadbooks, les itinéraires à partager, les bonnes adresses du Porschiste (hotels, restaurants). Photos et vidéos vivement recommandées !
Il se débrouille de mieux en mieux le coco avec un appareil photo.
Pour la peine, j'ai ressorti mon ancien réflex pour qu'il commence à se faire la main avec un vrai boitier.
Le deuxième jour sur Munich ne se passe pas comme je l'avais imaginé.
Après avoir échoué à réserver la visite de l'usine BMW, nous nous rabattons sur le Deutsches Museum, l'un des plus grands musées d'Europe sur les sciences et la technologie. C'est absolument dément, le musée (ou les musées plutôt) sont immenses et traitent de presque tous les grands sujets de l'industrie. Les transports, l'énergie, l'industrie chimique et pharmacologiques, le génie civil, la vapeur, la marine, l'aviation, l'espace et l'aérospatiale, etc.... etc....

Quelques images pour donner un aperçu des différents domaines qui y sont présentés.








On ne peut malheureusement pas tout voir, parce qu'il y en a pour des jours entiers, et nous mettons le cap vers Stuttgart / Zuffenhausen dans l'après-midi pour ne pas arriver trop tard. Il y a quand même un peu plus de 3 heures de route à parcourir à bonne allure.
Après quelques runs à plus de 200, dont un à plus de 250 compteur histoire de vérifier que notre monture n'est pas asthmatique, nous y voilà.

La grise se repose dans le parking de l'hôtel familial pendant que nous allons diner en ville, de façon un peu plus modérée que les deux embuscades de Munich (!)

Zuffenhausen, c'est vraiment "porsche-city"


Le lendemain matin, direction Stuttgart et le musée Mercedes...
Pour la peine, j'ai ressorti mon ancien réflex pour qu'il commence à se faire la main avec un vrai boitier.
Le deuxième jour sur Munich ne se passe pas comme je l'avais imaginé.
Après avoir échoué à réserver la visite de l'usine BMW, nous nous rabattons sur le Deutsches Museum, l'un des plus grands musées d'Europe sur les sciences et la technologie. C'est absolument dément, le musée (ou les musées plutôt) sont immenses et traitent de presque tous les grands sujets de l'industrie. Les transports, l'énergie, l'industrie chimique et pharmacologiques, le génie civil, la vapeur, la marine, l'aviation, l'espace et l'aérospatiale, etc.... etc....

Quelques images pour donner un aperçu des différents domaines qui y sont présentés.








On ne peut malheureusement pas tout voir, parce qu'il y en a pour des jours entiers, et nous mettons le cap vers Stuttgart / Zuffenhausen dans l'après-midi pour ne pas arriver trop tard. Il y a quand même un peu plus de 3 heures de route à parcourir à bonne allure.
Après quelques runs à plus de 200, dont un à plus de 250 compteur histoire de vérifier que notre monture n'est pas asthmatique, nous y voilà.

La grise se repose dans le parking de l'hôtel familial pendant que nous allons diner en ville, de façon un peu plus modérée que les deux embuscades de Munich (!)

Zuffenhausen, c'est vraiment "porsche-city"


Le lendemain matin, direction Stuttgart et le musée Mercedes...
Le 9 au matin, nous voici à pied d'oeuvre à Stuttgart pour aller découvrir le musée Mercedes.
Je ne suis pas spécialement un chaud partisan de la marque, mais tout le bien que j'ai pu lire ou entendre à propos du musée m'ont poussé à aller voir sur place, sachant également qu'il y a quelques machines de course légendaires à examiner de très près.
La claque a été monumentale, tant pour l'architecture de la structure que pour le contenu des expositions.
Mise en bouche dans le parking : plusieurs PaceCars sont encapsulés au milieu des places de stationnement

Sur l'esplanade, on commence à prendre la mesure des bâtiments
La concession d'un côté

Le musée de l'autre. Fausse apparence de petite dimension... regardez bien les piétons dans l'ombre au pied du bâtiment.

On entre....
D'entrée de jeu, expo AMG dans la zone publique, avec des engins qui ne font pas dans le détail



Puis, pour faire patienter le temps d'acheter les entrées, une AMG One posée là négligemment...

Dans l'atrium, seconde grande tarte dans la figure : l'architecture

La dimension, le design rétrofuturiste, les ascenseurs qui glissent en silence dans une impression de base secrète oubliée, façon James Bond ou Blake et Mortimer. Dément ! Vous verrez au fil de la visite l'agencement des espaces intérieurs, c'est vraiment quelque chose d'unique.
On prend un des ascenseurs, direction le sommet pour le début de la visite qui va s'effectuer comme une longue plongée en spirale au fil des époques et des plateaux, et on tombe sur des morceaux de l'histoire automobile mondiale avec un gros H



Ca laisse même une drôle d'impression de se trouver face à ce qu'on a pu tant voir et revoir dans les illustrations ou les livres spécialisés, pour la moto ou des tricycles et quadricycles motorisés.




Le canot à moteur de Bismarck

Et puis les premières évolutions "civiles" de ces machines pétaradantes


La visite s'annonce prenante.
On avance doucement dans les époques, et on arrive aux premières grandes automobiles, et aux premières Mercedes

Les carrosseries sont encore ouvertes, mais ce sont de vrais véhicules avec des cylindrées assez effarantes. 10L, 14L voire plus.
Et toujours pas de frein sur les roues avant. Roues artillerie bien sûr, pour frôler les 100 km/h.


Au milieu du plateau trône non pas la première Mercedes, perdue dans l'histoire, mais la plus ancienne existante à porter le nom et propriétéà l'époque de la famille Vanderbilt


Sur un étage satellite parallèle, une autre ancienne somnole entre les poids lourds de la maison


On y trouve aussi une berline aérodynamique des années 30


Juste à côté trône une légende du sport automobile, sur son porteur tout aussi légendaire



Excusez du palmares.....

...
Je ne suis pas spécialement un chaud partisan de la marque, mais tout le bien que j'ai pu lire ou entendre à propos du musée m'ont poussé à aller voir sur place, sachant également qu'il y a quelques machines de course légendaires à examiner de très près.
La claque a été monumentale, tant pour l'architecture de la structure que pour le contenu des expositions.
Mise en bouche dans le parking : plusieurs PaceCars sont encapsulés au milieu des places de stationnement

Sur l'esplanade, on commence à prendre la mesure des bâtiments
La concession d'un côté

Le musée de l'autre. Fausse apparence de petite dimension... regardez bien les piétons dans l'ombre au pied du bâtiment.

On entre....
D'entrée de jeu, expo AMG dans la zone publique, avec des engins qui ne font pas dans le détail



Puis, pour faire patienter le temps d'acheter les entrées, une AMG One posée là négligemment...

Dans l'atrium, seconde grande tarte dans la figure : l'architecture


La dimension, le design rétrofuturiste, les ascenseurs qui glissent en silence dans une impression de base secrète oubliée, façon James Bond ou Blake et Mortimer. Dément ! Vous verrez au fil de la visite l'agencement des espaces intérieurs, c'est vraiment quelque chose d'unique.
On prend un des ascenseurs, direction le sommet pour le début de la visite qui va s'effectuer comme une longue plongée en spirale au fil des époques et des plateaux, et on tombe sur des morceaux de l'histoire automobile mondiale avec un gros H



Ca laisse même une drôle d'impression de se trouver face à ce qu'on a pu tant voir et revoir dans les illustrations ou les livres spécialisés, pour la moto ou des tricycles et quadricycles motorisés.




Le canot à moteur de Bismarck

Et puis les premières évolutions "civiles" de ces machines pétaradantes


La visite s'annonce prenante.
On avance doucement dans les époques, et on arrive aux premières grandes automobiles, et aux premières Mercedes

Les carrosseries sont encore ouvertes, mais ce sont de vrais véhicules avec des cylindrées assez effarantes. 10L, 14L voire plus.
Et toujours pas de frein sur les roues avant. Roues artillerie bien sûr, pour frôler les 100 km/h.


Au milieu du plateau trône non pas la première Mercedes, perdue dans l'histoire, mais la plus ancienne existante à porter le nom et propriétéà l'époque de la famille Vanderbilt


Sur un étage satellite parallèle, une autre ancienne somnole entre les poids lourds de la maison


On y trouve aussi une berline aérodynamique des années 30


Juste à côté trône une légende du sport automobile, sur son porteur tout aussi légendaire



Excusez du palmares.....

...
On retrouve le fil de la "grande galerie" principale, pour arriver sur ces merveilles à compresseur, dont les fameuses SSK.

Encore une fois, plein les mirettes !!!











Et puis une vue plongeante sur le plateau suivant, avec en perspective dans le fond les autres zones d'exposition.

Plateau suivant, tellement attirant lui aussi

Changement de lignes, avec les premières carrosserie ponton

Et puis les 300 SL rutilantes



La star du plateau reste quand même cette 300 SLR Uhlenhaut Coupé, que je trouvais sublime bien avant qu'elle ne devienne la voiture la plus chère du monde. Je ne comprends d'ailleurs toujours pas comment Mercedes a pu en vendre un exemplaire.





N'oublions pas les besogneux de la même époque


Encore une fois, plein les mirettes !!!











Et puis une vue plongeante sur le plateau suivant, avec en perspective dans le fond les autres zones d'exposition.

Plateau suivant, tellement attirant lui aussi

Changement de lignes, avec les premières carrosserie ponton

Et puis les 300 SL rutilantes



La star du plateau reste quand même cette 300 SLR Uhlenhaut Coupé, que je trouvais sublime bien avant qu'elle ne devienne la voiture la plus chère du monde. Je ne comprends d'ailleurs toujours pas comment Mercedes a pu en vendre un exemplaire.





N'oublions pas les besogneux de la même époque

Membre cotisant
n°2319



