Authentifiez-vous pour accéder à toutes les fonctionnalités
Connectez-vous avec votre compte existant ou inscrivez-vous pour découvrir notre communauté
Les récits de vos roadtrips, les roadbooks, les itinéraires à partager, les bonnes adresses du Porschiste (hotels, restaurants). Photos et vidéos vivement recommandées !
witchfinder a écrit :Si je fais dormir Mme à Zuffenhausen en plus des vacances déjà bien typées, y'a moyen que ça grogneSylkill a écrit : J'étais allé directement sur Zuffenhausen.
Petit hôtel Freihof, familial, très calme, vraiment très gentils.
Sinon quand j'étais venu chercher ma 996 j'étais allé à la pension Keinath.
Rustique, resté keblo dans les 70s, mais très propre et également accueillant.
Après cette galerie argentée, nous arrivons sur un nouveau carrousel qui accueille lui aussi quelques merveilles
Le prototype T80 trône en tête du cortège.
Jamais terminé, il était prévu pour dépasser les 630 km/h, avec un moteur V12 de 44L de cylindrée et 3000 cv.
Il est suivi comme son ombre par une W125 Rekordwagen carénée et équipée d'un V12, qui réalisera une vitesse homologuée de 432 km/h
On trouve ensuite des machines de record plus récentes : une C111 diesel, puis une des trois 190 E qui ont établi le record des 50.000 km à 240 km/h de moyenne sur 8 jours non stop.
Dans le hall sont également présentés d'autres concept cars. La disposition est un régal pour les prises de vue
Cette fois la visite touche vraiment à sa fin. Il reste un "petit" tour à faire dans la concession avant de repartir.
Ces concepts ont bien marqué la production, mine de rien. On ne s'en rend pas compte, sauf lorsqu'on regarde l'année de production des prototypes.
La visite va se terminer par un petit tour dans le hall et vers la concession.
Dernier coup d'oeil dans le hall, juste à temps pour se rendre compte que ça a la forme d'un piston Wankel
On regarde distraitement les AMG exposées dans la galerie, qui paraissent bien fades après ce qu'on vient de voir dans le musée
La partie concession est triste comme un bonnet de nuit. En comparaison du BMW Welt où c'est animé, où on peut boire un coup tout en se rinçant l'oeil sur les carrosseries et vraiment voir des choses intéressantes, ici c'est morne plaine.
Même les productions AMG ont l'air de déprimer sévère, et il faut des slogans sur les murs pour encourager l'auto-persuasion
L'éclaté moteur, caché tout en haut loin des curieux, n'attire personne
Autant le musée mérite un énorme coup de chapeau, autant la partie concession..... bref... vous aurez compris.
Demain c'est Porsche. Ca ira mieux
Le prototype T80 trône en tête du cortège.
Jamais terminé, il était prévu pour dépasser les 630 km/h, avec un moteur V12 de 44L de cylindrée et 3000 cv.
Il est suivi comme son ombre par une W125 Rekordwagen carénée et équipée d'un V12, qui réalisera une vitesse homologuée de 432 km/h
On trouve ensuite des machines de record plus récentes : une C111 diesel, puis une des trois 190 E qui ont établi le record des 50.000 km à 240 km/h de moyenne sur 8 jours non stop.
Dans le hall sont également présentés d'autres concept cars. La disposition est un régal pour les prises de vue
Cette fois la visite touche vraiment à sa fin. Il reste un "petit" tour à faire dans la concession avant de repartir.
Ces concepts ont bien marqué la production, mine de rien. On ne s'en rend pas compte, sauf lorsqu'on regarde l'année de production des prototypes.
La visite va se terminer par un petit tour dans le hall et vers la concession.
Dernier coup d'oeil dans le hall, juste à temps pour se rendre compte que ça a la forme d'un piston Wankel
On regarde distraitement les AMG exposées dans la galerie, qui paraissent bien fades après ce qu'on vient de voir dans le musée
La partie concession est triste comme un bonnet de nuit. En comparaison du BMW Welt où c'est animé, où on peut boire un coup tout en se rinçant l'oeil sur les carrosseries et vraiment voir des choses intéressantes, ici c'est morne plaine.
Même les productions AMG ont l'air de déprimer sévère, et il faut des slogans sur les murs pour encourager l'auto-persuasion
L'éclaté moteur, caché tout en haut loin des curieux, n'attire personne
Autant le musée mérite un énorme coup de chapeau, autant la partie concession..... bref... vous aurez compris.
Demain c'est Porsche. Ca ira mieux
Membre
Porsche_it a écrit : Super road trip !
J'étais également à Stuttgart en Août et ai fait les musées Porsche puis Mercedes (23 et 24 Août) !
Par contre j'avais dormi dans le centre de Stuttgart, pour visiter également, il s'est avéré que je suis tombé pendant la fête du vin, tout le centre ville était en ébullition
Non loin du site ,il faut faire un détour au Motorworld à Boblingen
un peu plus au nord de Stuttgart ne pas hésiter à faire le musée de Sinsheim:
https://sinsheim.technik-museum.de/
Cette fois, c'est Porsche !
Pas de chance, le présentoir géant de Porsche Platz est en cours de peinture, donc rien à voir sur les pics à brochette
Il y a la collection habituelle sur le parvis, qui vient prendre place à l'ouverture du musée
Allez zou ! On entre !
Comme bien souvent, c'est par ordre chronologique
On tombe aussi sur la carrosserie de T64, en attendant que le constructeur arrive peut-être un jour à racheter sa création
Et puis immédiatement après, une Porsche qui ne dit pas son nom, et qui n'aura jamais pu montrer son potentiel : la Cisitalia, tout en magnésium
On voit assez rapidement que les véhicules présentés sont superbes et tout à fait à portée de main et d'yeux, mais après le musée Mercedes on ne peut s'empêcher d'être un peu déçu par la mise en place générale, très très conventionnelle. L'ensemble est beau, mais je suis resté un peu sur ma faim, principalement pour cet aspect là après en avoir pris plein les yeux chez BMW et Mercedes.
Voici la "fausse" Porsche n°001, reconstruite à l'identique des plans conservés depuis l'après-guerre.
"Fausse" n°001, car la vraie est juste à côté. Elle a vécu sa vie d'auto, a été modernisée par certains aspects, et plutôt que la remettre dans sa configuration d'origine, Porsche a souhaité la conserver dans son état final et produire à côté une réplique.
On va trouver un peu de couleur avec les premières 356 présentées
Elles sont dans un état
Ici en noir l'ancienne voiture personnelle du patron, affectueusement identifiée comme le "Coupé Ferdinand"
La tentation était trop forte
Et puis un Speedster rutilant
On va replonger dans le gris avec les premiers modèles de course qui ont posé des jalons importants pour la marque
Pas de chance, le présentoir géant de Porsche Platz est en cours de peinture, donc rien à voir sur les pics à brochette
Il y a la collection habituelle sur le parvis, qui vient prendre place à l'ouverture du musée
Allez zou ! On entre !
Comme bien souvent, c'est par ordre chronologique
On tombe aussi sur la carrosserie de T64, en attendant que le constructeur arrive peut-être un jour à racheter sa création
Et puis immédiatement après, une Porsche qui ne dit pas son nom, et qui n'aura jamais pu montrer son potentiel : la Cisitalia, tout en magnésium
On voit assez rapidement que les véhicules présentés sont superbes et tout à fait à portée de main et d'yeux, mais après le musée Mercedes on ne peut s'empêcher d'être un peu déçu par la mise en place générale, très très conventionnelle. L'ensemble est beau, mais je suis resté un peu sur ma faim, principalement pour cet aspect là après en avoir pris plein les yeux chez BMW et Mercedes.
Voici la "fausse" Porsche n°001, reconstruite à l'identique des plans conservés depuis l'après-guerre.
"Fausse" n°001, car la vraie est juste à côté. Elle a vécu sa vie d'auto, a été modernisée par certains aspects, et plutôt que la remettre dans sa configuration d'origine, Porsche a souhaité la conserver dans son état final et produire à côté une réplique.
On va trouver un peu de couleur avec les premières 356 présentées
Elles sont dans un état
Ici en noir l'ancienne voiture personnelle du patron, affectueusement identifiée comme le "Coupé Ferdinand"
La tentation était trop forte
Et puis un Speedster rutilant
On va replonger dans le gris avec les premiers modèles de course qui ont posé des jalons importants pour la marque
On continue dans le gris si vous voulez bien ?
Une 356 Carrera Gt se cache sous cette ligne en "raclette", comme ils l'ont surnommée là-bas
La Formule 2 qui avait poussé Porsche à l'époque à tenter la F1
Et quelques vues sur des détails qui ne se démoderont plus jamais, entre les 550 et 718
La prochaine enfilade présentée va être sympa aussi
On découvre à la suite des 356 un des prototypes de 901 à la ligne un peu maladroite sur l'arrière, puis les premières 901/911
Côté compétition, c'est la légèreté qui va s'imposer avec les premières carrosseries en fibre de verre.
On voit littéralement à travers les portes - quand on parle de chasse au poids, c'est assez dingo
Une des premières applications : la 904, ici en version GTS
Petit entracte avec l'examen d'un Fuhrmann
Et puis on continue avec les carrosseries composites, avec la 907, puis la 908
On se rapproche petit à petit des monstres
Une 356 Carrera Gt se cache sous cette ligne en "raclette", comme ils l'ont surnommée là-bas
La Formule 2 qui avait poussé Porsche à l'époque à tenter la F1
Et quelques vues sur des détails qui ne se démoderont plus jamais, entre les 550 et 718
La prochaine enfilade présentée va être sympa aussi
On découvre à la suite des 356 un des prototypes de 901 à la ligne un peu maladroite sur l'arrière, puis les premières 901/911
Côté compétition, c'est la légèreté qui va s'imposer avec les premières carrosseries en fibre de verre.
On voit littéralement à travers les portes - quand on parle de chasse au poids, c'est assez dingo
Une des premières applications : la 904, ici en version GTS
Petit entracte avec l'examen d'un Fuhrmann
Et puis on continue avec les carrosseries composites, avec la 907, puis la 908
On se rapproche petit à petit des monstres
Avant d'aller voir les monuments suivants, on fait un petit arrêt sur le 908/03 Spyder.
Son chassis tubulaire est un gros indice qui annonce le modèle suivant.
Voici celle qui a terrorisé ses pilotes avant de terroriser la concurrence : la 917.
Ici dans la première version "avion sans ailes"
On retrouve juste à côté les versions nettement plus stables et aérodynamiques
La 917 cochon qui a plus marqué les esprits que les podiums
Et puis des versions spyder, assez incroyables en version turbo qui dépassaient largement les 1100cv
On va aller voir ensuite les modèles de compétition sur base 911
Sur le côté, la flèche du temps continue d'avancer, avec le jalon 914/6 qui détonnait et détonne toujours par rapport à ses voisines
Les machines de course sur base 911 ne font non plus dans le détail
On retrouve le pendant côté civil avec la 930
Et puis encore une fois des modèles qu'on ne présente plus
Et un éclaté du flat 12 turbo de 1100cv
Son chassis tubulaire est un gros indice qui annonce le modèle suivant.
Voici celle qui a terrorisé ses pilotes avant de terroriser la concurrence : la 917.
Ici dans la première version "avion sans ailes"
On retrouve juste à côté les versions nettement plus stables et aérodynamiques
La 917 cochon qui a plus marqué les esprits que les podiums
Et puis des versions spyder, assez incroyables en version turbo qui dépassaient largement les 1100cv
On va aller voir ensuite les modèles de compétition sur base 911
Sur le côté, la flèche du temps continue d'avancer, avec le jalon 914/6 qui détonnait et détonne toujours par rapport à ses voisines
Les machines de course sur base 911 ne font non plus dans le détail
On retrouve le pendant côté civil avec la 930
Et puis encore une fois des modèles qu'on ne présente plus
Et un éclaté du flat 12 turbo de 1100cv
Profil - witchfinder
Profil - Motorsport45
Profil - loren
Profil - 9six4
