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Enregistré le : 17 juin 2011, 18:16
Région où le bien est disponible : Alpes Maritimes
Prix de vente : 1500 €
Contact : indienestmonnom
Cette 924 série 1 est peut-être la plus célèbre de toutes les PMA au monde. Elle a fait les beaux jours du club, elle a suscité les plus franches rigolades et elle fut la première à s'élancer sur les routes enneigées de la Virada Bianca, montrant ainsi l'exemple à de bien plus illustres cousines. De ces exploits, elles garde de nombreux stigmates, que la présente annonce ne cherchera pas à cacher.
Le post qui lui est consacré >>>
L'historique complet de la 924 >>>
Pour pièces ou pour restauration, elle fera le bonheur de son prochain propriétaire, comme elle a su me combler durant son séjour entre mes mains. On ne dira jamais assez l'odeur particulière de son intérieur, on ne vantera jamais trop les bienfaits du transaxle dans les virages, ni les pouces levés qu'elle déclenche à son passage, quand elle roulait encore !
Immobilisée depuis plus d'un an sur mon parking, elle a subi les affres de la météo et les erreurs de manœuvre des autres véhicules. Ne parlons pas de la peinture qui a largement perdu de sa superbe, mais relevons plutôt les jointures de certaines tôles qui ont craqué, les bosses sur les ailes avant, les cloques de rouille sur le nez du capot avant, les écailles au niveau des lève-vitres, les montants des vitres de portière à vif, le compartiment du coffre arrière craquelé, les glaces de rétroviseurs qui sont tombées, le pot d'échappement ressoudé puis dessoudé à nouveau, les jantes fatiguées, le tissu des sièges avant déchiré aux coutures avec le vinyl, la console centrale brisée à un coin...
Les garnitures de portières, les sièges arrières, les moquettes, les instruments de bord, les longerons de bas de caisse et le châssis sont en bon état. Le système de lève-phare a été changé et il fonctionne, tout comme le moteur, les freins et la boîte 4. Je pense malgré tout que le changement de courroie par un exemplaire non conforme à l'origine ne permet plus à l'alternateur de charger la batterie. Enfin, ça, c'était lors de son dernier démarrage...
A venir chercher sur un plateau ou une remorque, cela va sans dire.
Je m'en sépare le cœur lourd et la larme facile.






























Prix de vente : 1500 €
Contact : indienestmonnom
Cette 924 série 1 est peut-être la plus célèbre de toutes les PMA au monde. Elle a fait les beaux jours du club, elle a suscité les plus franches rigolades et elle fut la première à s'élancer sur les routes enneigées de la Virada Bianca, montrant ainsi l'exemple à de bien plus illustres cousines. De ces exploits, elles garde de nombreux stigmates, que la présente annonce ne cherchera pas à cacher.
Le post qui lui est consacré >>>
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Pour pièces ou pour restauration, elle fera le bonheur de son prochain propriétaire, comme elle a su me combler durant son séjour entre mes mains. On ne dira jamais assez l'odeur particulière de son intérieur, on ne vantera jamais trop les bienfaits du transaxle dans les virages, ni les pouces levés qu'elle déclenche à son passage, quand elle roulait encore !
Immobilisée depuis plus d'un an sur mon parking, elle a subi les affres de la météo et les erreurs de manœuvre des autres véhicules. Ne parlons pas de la peinture qui a largement perdu de sa superbe, mais relevons plutôt les jointures de certaines tôles qui ont craqué, les bosses sur les ailes avant, les cloques de rouille sur le nez du capot avant, les écailles au niveau des lève-vitres, les montants des vitres de portière à vif, le compartiment du coffre arrière craquelé, les glaces de rétroviseurs qui sont tombées, le pot d'échappement ressoudé puis dessoudé à nouveau, les jantes fatiguées, le tissu des sièges avant déchiré aux coutures avec le vinyl, la console centrale brisée à un coin...
Les garnitures de portières, les sièges arrières, les moquettes, les instruments de bord, les longerons de bas de caisse et le châssis sont en bon état. Le système de lève-phare a été changé et il fonctionne, tout comme le moteur, les freins et la boîte 4. Je pense malgré tout que le changement de courroie par un exemplaire non conforme à l'origine ne permet plus à l'alternateur de charger la batterie. Enfin, ça, c'était lors de son dernier démarrage...
A venir chercher sur un plateau ou une remorque, cela va sans dire.
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D S a écrit : oh oui c'est vrai,j 'adore toujours la tapée de peigne cul sur les annonces de ventes qui à chaque fois nous gratifient de leurs éloges sur la guèze et le vendeur qui est toujours un Saint !:mad:
là au moins c'est claire le vendeur est un fumier et la caisse est pourrie![]()
![]()
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indienestmonnom a écrit : Les 924 pré 80 et les 924 Turbo du même millésime sont toutes deux éligibles.![]()
Alors c’est moi la vedette

Je croyais que les seules 924 Turbo étaient éligibles


Et up

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A noter que le Sioux est honnête et que les photos ne cachent rien.
Je trouve que ce n'est pas idiot d'acheter ça 1.500 € comme 1er achat Porsche ou pour se tanker comme les copains à la Virada Bianca, sous réserve d'être un peu bricoleur
Je l'aurais bien prise, mais comme il est précisé que c'est pour un "connaisseur averti", c'est pas possible
Je suis averti
, mais pas connaisseur des PMA
Dommage ...

Je trouve que ce n'est pas idiot d'acheter ça 1.500 € comme 1er achat Porsche ou pour se tanker comme les copains à la Virada Bianca, sous réserve d'être un peu bricoleur
Je l'aurais bien prise, mais comme il est précisé que c'est pour un "connaisseur averti", c'est pas possible

Je suis averti

Dommage ...

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Pierrers a écrit : A noter que le Sioux est honnête et que les photos ne cachent rien.
Je trouve que ce n'est pas idiot d'acheter ça 1.500 € comme 1er achat Porsche ou pour se tanker comme les copains à la Virada Bianca, sous réserve d'être un peu bricoleur
Je l'aurais bien prise, mais comme il est précisé que c'est pour un "connaisseur averti", c'est pas possible
Je suis averti, mais pas connaisseur des PMA
Dommage ...![]()
Cependant bon prix / prestation


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https://www.lesoleil.com/archives/le-my ... 8c6d46e1de

"C'est en effet une vieille croyance que celle qui veut que les Autochtones deviennent ivres au moindre petit verre. Les taux élevés d'alcoolisme qui sévissent sur plusieurs réserves indiennes viennent ajouter au préjugé du «Sauvage pas capable de gérer la boisson». Voyons voir...
De manière générale, que ce soit chez les Autochtones ou chez les «Blancs», la sensibilité et la dépendance à l'alcool (ou à une autre substance) ont une forte composante génétique. Des études de jumeaux l'ont amplement démontré. Ces penchants s'observent généralement dans des familles, pas à l'échelle de populations ou de groupes «raciaux», mais on connaît (au moins) une exception célèbre.
Dans une bonne partie de la Chine, des Corées et du Japon, beaucoup de gens possèdent un allèle, c'est-à-dire une version d'un gène, qui les rend plus sensibles à l'alcool. Quand on boit, en effet, l'alcool est métabolisé en plusieurs étapes. Dans un premier temps, il est transformé en une substance nommée aldéhyde - assez toxique, elle est une des causes du «lendemain de veille». L'aldéhyde est ensuite défait par un enzyme appelé aldéhyde déhydrogénase (ALDH), ce qui donne de l'acide acétique, qui est à son tour soit éliminé dans l'urine, soit transformé en autre chose, mais c'est une autre histoire.
En Extrême-Orient, une bonne partie de la population a une version particulière du gène de l'ALDH qui fait que l'enzyme prend plus de temps à défaire l'aldéhyde. Quand ces gens boivent, donc, l'aldéhyde s'accumule davantage dans leur sang, ce qui les rend plus sensibles à l'alcool, mais cause aussi des effets secondaires désagréables.
Or, les Autochtones n'ont pas ce «gène» qui rend plus prompt à l'ivresse. Pour tout dire, leur capacité à tenir l'alcool a déjà été mesurée et n'est en rien inférieure à celle des autres. Dans une expérience qu'elle a dirigée dans les années 90, la professeure de neuroscience cellulaire et moléculaire à l'Institut de recherche Scripps Cindy Ehlers a donné la même dose d'alcool (0,75 millilitre par kilogramme de poids corporel) à 40 Amérindiens de Californie, puis a pris diverses mesures pendant deux heures.
Résultat : leur rythme cardiaque et leur taux de cortisol, l'hormone du stress, ont peu changé pendant l'expérience, alors que l'alcool fait grimper ces indicateurs davantage chez d'autres groupes dits «raciaux». En outre, Mme Ehlers a demandé aux participants de noter eux-mêmes divers aspects de leur ivresse, et ceux qui avaient plus de 50 % de «sang indien» ont rapporté des symptômes en moyenne plus légers que ceux qui étaient plus métissés.
Cela contredit évidemment de plein fouet le mythe de l'«eau de feu» : non seulement les Indiens ne sont pas plus affectés que les autres par l'alcool, il se pourrait au contraire qu'ils le soient moins - et gardons ce point à l'esprit, nous y reviendrons tout de suite.
Fait intéressant, Mme Ehlers a publié l'an dernier une revue de littérature scientifique sur la génétique des Premières Nations, afin de répondre à la question de savoir s'ils ont des prédispositions particulières à l'alcoolisme ou à la dépendance à d'autres substances. Dans l'ensemble, il apparaît que non, les Indiens n'ont pas de prédisposition particulière pour la dépendance, mais qu'ils ne bénéficient pas non plus de facteurs de protection que l'on trouve dans d'autres groupes. Par exemple, ils n'ont pas cet allèle des Asiatiques qui, en rendant la consommation d'alcool moins agréable, prévient (statistiquement, s'entend) l'alcoolisme. De même, une forte tolérance à l'alcool est généralement associée à un risque accru d'en devenir dépendant. Et comme l'expérience de Mme Ehlers suggère justement, bien que l'échantillon soit mince, que les Autochtones tiennent mieux l'alcool que les autres, cela ferait un autre exemple de facteur de protection en moins.
Cela étant dit, lorsqu'il s'agit de comportements, les gènes ne sont pas synonymes de fatalité. Comme le souligne Mme Ehlers, on ne parle pas ici de gène qui pousserait activement vers l'alcoolisme, mais surtout de «freins» génétiques qui seraient moins nombreux - et peut-être des facteurs génétiques indirects. Il faut donc que d'autres choses poussent vers la bouteille, et le milieu social difficile que constituent trop de réserves indiennes est un facteur évident.
La pauvreté et une faible instruction sont des facteurs de risque connus pour les dépendances. Les traumatismes aussi. La négligence parentale (souvent parce que les parents eux-mêmes ont des problèmes) peut amener les enfants à consommer à un jeune âge, ce qui est un autre «risque environnemental» important. Autant de choses qui sont le lot de beaucoup (trop) de gens dans les réserves.
Bref, de la même façon qu'il y a des Asiatiques alcooliques malgré leurs gènes protecteurs, les Amérindiens ne sont pas condamnés à la toxicomanie par leur ADN. Loin de là. Mais leurs conditions de vie sont certainement de puissants facteurs d'alcoolisme. Et avoir moins de gènes protecteurs ne ferait qu'empirer les choses.
Sources :
CONSUELO GARCIA-ANDRADE, TAMARA L. WALL et CINDY L. EHLERS. «The Firewater Myth and Response to Alcohol in Mission Indians», American Journal of Psychiatry, 1997. bit.ly/WhcKEb
CINDY L. EHLERS et IAN R. GIZER. «Evidence for a Genetic Component for Substance Dependence in Native Americans», American Journal of Psychiatry, 2013. bit.ly/1vTNio6
HUAI-RONG LUO et autres. «Origin and Dispersal of Atypical Aldehyde Dehydrogenase ALDH2-487Lys», Gene, 2009. bit.ly/1tyDNcW"


"C'est en effet une vieille croyance que celle qui veut que les Autochtones deviennent ivres au moindre petit verre. Les taux élevés d'alcoolisme qui sévissent sur plusieurs réserves indiennes viennent ajouter au préjugé du «Sauvage pas capable de gérer la boisson». Voyons voir...
De manière générale, que ce soit chez les Autochtones ou chez les «Blancs», la sensibilité et la dépendance à l'alcool (ou à une autre substance) ont une forte composante génétique. Des études de jumeaux l'ont amplement démontré. Ces penchants s'observent généralement dans des familles, pas à l'échelle de populations ou de groupes «raciaux», mais on connaît (au moins) une exception célèbre.
Dans une bonne partie de la Chine, des Corées et du Japon, beaucoup de gens possèdent un allèle, c'est-à-dire une version d'un gène, qui les rend plus sensibles à l'alcool. Quand on boit, en effet, l'alcool est métabolisé en plusieurs étapes. Dans un premier temps, il est transformé en une substance nommée aldéhyde - assez toxique, elle est une des causes du «lendemain de veille». L'aldéhyde est ensuite défait par un enzyme appelé aldéhyde déhydrogénase (ALDH), ce qui donne de l'acide acétique, qui est à son tour soit éliminé dans l'urine, soit transformé en autre chose, mais c'est une autre histoire.
En Extrême-Orient, une bonne partie de la population a une version particulière du gène de l'ALDH qui fait que l'enzyme prend plus de temps à défaire l'aldéhyde. Quand ces gens boivent, donc, l'aldéhyde s'accumule davantage dans leur sang, ce qui les rend plus sensibles à l'alcool, mais cause aussi des effets secondaires désagréables.
Or, les Autochtones n'ont pas ce «gène» qui rend plus prompt à l'ivresse. Pour tout dire, leur capacité à tenir l'alcool a déjà été mesurée et n'est en rien inférieure à celle des autres. Dans une expérience qu'elle a dirigée dans les années 90, la professeure de neuroscience cellulaire et moléculaire à l'Institut de recherche Scripps Cindy Ehlers a donné la même dose d'alcool (0,75 millilitre par kilogramme de poids corporel) à 40 Amérindiens de Californie, puis a pris diverses mesures pendant deux heures.
Résultat : leur rythme cardiaque et leur taux de cortisol, l'hormone du stress, ont peu changé pendant l'expérience, alors que l'alcool fait grimper ces indicateurs davantage chez d'autres groupes dits «raciaux». En outre, Mme Ehlers a demandé aux participants de noter eux-mêmes divers aspects de leur ivresse, et ceux qui avaient plus de 50 % de «sang indien» ont rapporté des symptômes en moyenne plus légers que ceux qui étaient plus métissés.
Cela contredit évidemment de plein fouet le mythe de l'«eau de feu» : non seulement les Indiens ne sont pas plus affectés que les autres par l'alcool, il se pourrait au contraire qu'ils le soient moins - et gardons ce point à l'esprit, nous y reviendrons tout de suite.
Fait intéressant, Mme Ehlers a publié l'an dernier une revue de littérature scientifique sur la génétique des Premières Nations, afin de répondre à la question de savoir s'ils ont des prédispositions particulières à l'alcoolisme ou à la dépendance à d'autres substances. Dans l'ensemble, il apparaît que non, les Indiens n'ont pas de prédisposition particulière pour la dépendance, mais qu'ils ne bénéficient pas non plus de facteurs de protection que l'on trouve dans d'autres groupes. Par exemple, ils n'ont pas cet allèle des Asiatiques qui, en rendant la consommation d'alcool moins agréable, prévient (statistiquement, s'entend) l'alcoolisme. De même, une forte tolérance à l'alcool est généralement associée à un risque accru d'en devenir dépendant. Et comme l'expérience de Mme Ehlers suggère justement, bien que l'échantillon soit mince, que les Autochtones tiennent mieux l'alcool que les autres, cela ferait un autre exemple de facteur de protection en moins.
Cela étant dit, lorsqu'il s'agit de comportements, les gènes ne sont pas synonymes de fatalité. Comme le souligne Mme Ehlers, on ne parle pas ici de gène qui pousserait activement vers l'alcoolisme, mais surtout de «freins» génétiques qui seraient moins nombreux - et peut-être des facteurs génétiques indirects. Il faut donc que d'autres choses poussent vers la bouteille, et le milieu social difficile que constituent trop de réserves indiennes est un facteur évident.
La pauvreté et une faible instruction sont des facteurs de risque connus pour les dépendances. Les traumatismes aussi. La négligence parentale (souvent parce que les parents eux-mêmes ont des problèmes) peut amener les enfants à consommer à un jeune âge, ce qui est un autre «risque environnemental» important. Autant de choses qui sont le lot de beaucoup (trop) de gens dans les réserves.
Bref, de la même façon qu'il y a des Asiatiques alcooliques malgré leurs gènes protecteurs, les Amérindiens ne sont pas condamnés à la toxicomanie par leur ADN. Loin de là. Mais leurs conditions de vie sont certainement de puissants facteurs d'alcoolisme. Et avoir moins de gènes protecteurs ne ferait qu'empirer les choses.
Sources :
CONSUELO GARCIA-ANDRADE, TAMARA L. WALL et CINDY L. EHLERS. «The Firewater Myth and Response to Alcohol in Mission Indians», American Journal of Psychiatry, 1997. bit.ly/WhcKEb
CINDY L. EHLERS et IAN R. GIZER. «Evidence for a Genetic Component for Substance Dependence in Native Americans», American Journal of Psychiatry, 2013. bit.ly/1vTNio6
HUAI-RONG LUO et autres. «Origin and Dispersal of Atypical Aldehyde Dehydrogenase ALDH2-487Lys», Gene, 2009. bit.ly/1tyDNcW"
Bon anniversaire Jean Marie et bonne vente pour la 24.
Voilà ce que j'avais écrit quand je l'avais essayé en son temps:)
Souvenirs, souvenirs
11mars 2016
J'ai conduit une 924
Voilà, hier après le déjeuner L'indien m' a passé le volant de sa 924.
Surpris, l'habitacle n'est pa exigu, la position de conduite, allongée, est confortable et le petit levier de vitesse tombe étonnamment bien dans la main. On se sent dans un cocon , prêt à faire une longue route sans fatigue.
Le moteur s'ébroue avec une note rauque sympathique et nous voilà partis sur une petite route dont JM à le secret.
Après un petit chauffage en règle il me dit:"vas y, brutalise là comme une vieille salope, elle aime ça", l'Indien à quelquefois des expressions imagées basiques, mais.......c'est l'Indien.
Alors je la secoue un peu et je suis surpris de l'accroche, elles permets et pardonne beaucoup, se place avec précision, la direction est légère et réactive, la tenue de route neutre.
Le moteur pousse gentiment, très linéaire mais suffisamment coupleux pour s'extraire des virages avec vigueur, les freins (à tambours à l'arrière) sont un peu légers, mais avec un peu d'anticipation, ils font le job.
Le feeling à l'intérieur est vintage, un peu plastoc, Roland dirait FuegoStyle ,mais participe à l'ambiance de ces années où la vie était cool. Je m'évade un instant savourant le moment, j'aurais bien vu à côté de moi une liane blonde aux long cheveux lâchés style Ibiza 70. Mais la réalité me rattrape, c'est l'Indien qui m'envoie la fumée de sa clope dans la gueule en disant "pt'aing vas-y, mets lui", j'adore son romantisme.
On rentre sur le couple par la pénétrante, on est relax, hors du temps, j'aime bien le petit volant à deux fines branches devant moi qui a une tronche de smiley. La 924 "cruise" sans effort sa ligne est fluide, elle est terriblement attachante et quand arrivé chez l'Indien je l'ai englobé d'un dernier regard, j'avoue même lui avoir trouvé une certaine élégance........
(Ce message a été modifié le : 11-03-2016 14:45 par Topman.)
Voilà ce que j'avais écrit quand je l'avais essayé en son temps:)
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Voilà, hier après le déjeuner L'indien m' a passé le volant de sa 924.
Surpris, l'habitacle n'est pa exigu, la position de conduite, allongée, est confortable et le petit levier de vitesse tombe étonnamment bien dans la main. On se sent dans un cocon , prêt à faire une longue route sans fatigue.
Le moteur s'ébroue avec une note rauque sympathique et nous voilà partis sur une petite route dont JM à le secret.
Après un petit chauffage en règle il me dit:"vas y, brutalise là comme une vieille salope, elle aime ça", l'Indien à quelquefois des expressions imagées basiques, mais.......c'est l'Indien.
Alors je la secoue un peu et je suis surpris de l'accroche, elles permets et pardonne beaucoup, se place avec précision, la direction est légère et réactive, la tenue de route neutre.
Le moteur pousse gentiment, très linéaire mais suffisamment coupleux pour s'extraire des virages avec vigueur, les freins (à tambours à l'arrière) sont un peu légers, mais avec un peu d'anticipation, ils font le job.
Le feeling à l'intérieur est vintage, un peu plastoc, Roland dirait FuegoStyle ,mais participe à l'ambiance de ces années où la vie était cool. Je m'évade un instant savourant le moment, j'aurais bien vu à côté de moi une liane blonde aux long cheveux lâchés style Ibiza 70. Mais la réalité me rattrape, c'est l'Indien qui m'envoie la fumée de sa clope dans la gueule en disant "pt'aing vas-y, mets lui", j'adore son romantisme.
On rentre sur le couple par la pénétrante, on est relax, hors du temps, j'aime bien le petit volant à deux fines branches devant moi qui a une tronche de smiley. La 924 "cruise" sans effort sa ligne est fluide, elle est terriblement attachante et quand arrivé chez l'Indien je l'ai englobé d'un dernier regard, j'avoue même lui avoir trouvé une certaine élégance........
(Ce message a été modifié le : 11-03-2016 14:45 par Topman.)
Mode peigne cul:
"oh bravo,ça n'a pas traîné, vu la qualité des voitures que le vendeur a l'habitude de vendre !"
"félicitation au nouveau proprio qui vient de faire une affaiiiiire
"
"j'espère qu'elle restera au club !!!!"
j'y crois pas ,l'jour de son anniv il fourgue sa guèze à prix d'or à un pigeon , très très fort l' Rom'indien
pour les raisons suivantes :honte déprime suicide avec une saucisse ,il serait bien qu'on ne connaisse jamais le nom du gagnant du bingo loto de la loose et des trois autres qui souhaitaient aussi se faire entuber au saindoux

y a pas,quand on est sponsor ou au staff on peut tout faire tout se permettre ,ça passe


"oh bravo,ça n'a pas traîné, vu la qualité des voitures que le vendeur a l'habitude de vendre !"
"félicitation au nouveau proprio qui vient de faire une affaiiiiire


"j'espère qu'elle restera au club !!!!"
j'y crois pas ,l'jour de son anniv il fourgue sa guèze à prix d'or à un pigeon , très très fort l' Rom'indien

pour les raisons suivantes :honte déprime suicide avec une saucisse ,il serait bien qu'on ne connaisse jamais le nom du gagnant du bingo loto de la loose et des trois autres qui souhaitaient aussi se faire entuber au saindoux




y a pas,quand on est sponsor ou au staff on peut tout faire tout se permettre ,ça passe











