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n°2048





detuning-man a écrit : https://www.leprogres.fr/sante/2021/02/ ... e-tatouage
L'UFC-Que choisir a saisi la Répression des fraudes après avoir trouvé des substances nocives dans la plupart des encres utilisées en France pour le tatouage.
Oui, pareil pour Bibi, c’est trop tard
Par contre je vais jeter un oeil pour mes deux petites qui vont se faire graver cet ete
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J'suis inquiet du coup....

Je me suis fait celui là hier, tout à fait raccord avec mon physique de grand blond baraqué...
Je peux le garder ou pas ?





Je me suis fait celui là hier, tout à fait raccord avec mon physique de grand blond baraqué...

Je peux le garder ou pas ?



Musée de l'Aviation Militaire de Lyon Corbas
Fouga, T33, Alphajet PAF, Ouragan, Mystère IV, SMB2, Alizé, Etendard IV, Jaguar, Mirage III, IV, F1, 2000,...
Fouga, T33, Alphajet PAF, Ouragan, Mystère IV, SMB2, Alizé, Etendard IV, Jaguar, Mirage III, IV, F1, 2000,...
L'UFC-Que Choisir, à la suite de tests en laboratoire, a décidé de saisir la DGCCRF et l'ANSM sur plusieurs encres de tatouage.
La procédure engagée par UFC-Que Choisir soulève une problématique de conformité règlementaire des encres : Elle souligne un besoin d’encadrement du marché des encres, et non pas un éventuel "danger immédiat" pour les usagers.
Une analyse quantitative d'un échantillon de substances ne peut à elle seule porter à conclusion, qu’elle soit positive ou négative.
Sans connaitre la méthodologie précise de l'UFC et sans enquête analytique, il est impossible d’établir une causalité entre la toxicité potentielle des encres et d’éventuels effets indésirables sur l’organisme. L’idée d’un danger pour les usagers est lourde de conséquences médiatiques, mais n’est en aucun cas une réalité scientifique.
La "dangerosité" pointée ici de manière alarmiste (comme c'est généralement le cas dès qu'il s'agit de tatouage) est donc injustifiée, car il est fait mention de la présence de substances potentiellement toxiques sans enquête épidémiologique permettant de les lier à d’éventuelles maladies. Seule une lecture scientifique et clinique de ces données dans le cadre d’études méthodiques et reproductibles ferait sens en matière de santé publique.
Depuis 20 ans, une revue complète de la presse médicale "montre que le nombre de cancers de la peau qui apparaissent dans les tatouages est faible, sans causalité directe démontrée." (Cf. avis du Haut Conseil de Santé Publique).
Les remontées spontanées d’information restent anecdotiques et ne démontrent aucun danger à grande échelle. Aucune étude ne permet à ce jour d’obtenir un niveau expérimental suffisamment proche de la réalité pour pouvoir donner des résultats fiables et mesurer l’innocuité ou les risques de la pratique du tatouage. En conséquence, l’absence de travaux analytiques ne permet pas de conclure de manière objective à une mise en danger des tatoués ou des tatoueurs.
Les tatoueurs professionnels utilisent leurs produits en toute bonne foi, et sont naturellement sensibles à la sécurité dès lors qu'ils s'approvisionnent auprès de distributeurs identifiés.
Ils le font nécessairement car ils ne doivent pas seulement se préoccuper de leur activité et de leur clientèle, mais aussi d'eux-mêmes et de leur famille, puisqu'ils sont tous eux-même tatoués.
Les activités de tatouage sont soumises au respect de normes strictes en matière d’hygiène et salubrité mais aussi d'une vigilance spécifique concernant la sécurité des produits utilisés, par le biais d’un portail de signalement accessible aux tatoueurs comme aux tatoués lorsqu’un effet indésirable se produit.
Le SNAT a récemment rappelé l'attention du Ministère de la santé et de l'ANSM afin de travailler ensemble sur le sujet des encres et des pratiques de tatouage, comme nous le faisons depuis 2003.
Nous avons notamment demandé aux instances d'initier des études in vivo en situation réelle, puisqu'aucune étude de ce type n'a été menée à ce jour.
Tatoueurs et tatoués sont extrêmement demandeurs d'informations et de transparence, nous espérons donc qu'une telle "alerte" ne suscitera pas des décisions arbitraires prises dans la précipitation.
Là encore, il faut insister sur les risques réels de dérive des pratiques de tatouage, avec la multiplication exponentielle et non contrôlée des tatoueurs clandestins, hors tout cadre légal, à domicile ou dans des lieux non conformes, et au mépris de toutes les règles d’hygiène. Ces pratiques constituent une véritable menace pour l'art du tatouage et pour les professionnels qui souffrent de cette concurrence déloyale, ainsi que des conséquences de ces dérives sur le plan médiatique et sociétal.
Le risque sanitaire y est pourtant démultiplié puisque ces non professionnels opèrent avec des encres non identifiables et totalement écartées dans ce travail non exhaustif de l'UFC.
Concerné et engagé, le SNAT est, comme toujours, prêt à travailler avec les instances nationales et internationales pour faire naître ensemble des recommandations justes, efficaces et sécurisantes pour les tatoueurs et leurs clients, afin de recourir à ces pratiques de tatouage en toute responsabilité.
La procédure engagée par UFC-Que Choisir soulève une problématique de conformité règlementaire des encres : Elle souligne un besoin d’encadrement du marché des encres, et non pas un éventuel "danger immédiat" pour les usagers.
Une analyse quantitative d'un échantillon de substances ne peut à elle seule porter à conclusion, qu’elle soit positive ou négative.
Sans connaitre la méthodologie précise de l'UFC et sans enquête analytique, il est impossible d’établir une causalité entre la toxicité potentielle des encres et d’éventuels effets indésirables sur l’organisme. L’idée d’un danger pour les usagers est lourde de conséquences médiatiques, mais n’est en aucun cas une réalité scientifique.
La "dangerosité" pointée ici de manière alarmiste (comme c'est généralement le cas dès qu'il s'agit de tatouage) est donc injustifiée, car il est fait mention de la présence de substances potentiellement toxiques sans enquête épidémiologique permettant de les lier à d’éventuelles maladies. Seule une lecture scientifique et clinique de ces données dans le cadre d’études méthodiques et reproductibles ferait sens en matière de santé publique.
Depuis 20 ans, une revue complète de la presse médicale "montre que le nombre de cancers de la peau qui apparaissent dans les tatouages est faible, sans causalité directe démontrée." (Cf. avis du Haut Conseil de Santé Publique).
Les remontées spontanées d’information restent anecdotiques et ne démontrent aucun danger à grande échelle. Aucune étude ne permet à ce jour d’obtenir un niveau expérimental suffisamment proche de la réalité pour pouvoir donner des résultats fiables et mesurer l’innocuité ou les risques de la pratique du tatouage. En conséquence, l’absence de travaux analytiques ne permet pas de conclure de manière objective à une mise en danger des tatoués ou des tatoueurs.
Les tatoueurs professionnels utilisent leurs produits en toute bonne foi, et sont naturellement sensibles à la sécurité dès lors qu'ils s'approvisionnent auprès de distributeurs identifiés.
Ils le font nécessairement car ils ne doivent pas seulement se préoccuper de leur activité et de leur clientèle, mais aussi d'eux-mêmes et de leur famille, puisqu'ils sont tous eux-même tatoués.
Les activités de tatouage sont soumises au respect de normes strictes en matière d’hygiène et salubrité mais aussi d'une vigilance spécifique concernant la sécurité des produits utilisés, par le biais d’un portail de signalement accessible aux tatoueurs comme aux tatoués lorsqu’un effet indésirable se produit.
Le SNAT a récemment rappelé l'attention du Ministère de la santé et de l'ANSM afin de travailler ensemble sur le sujet des encres et des pratiques de tatouage, comme nous le faisons depuis 2003.
Nous avons notamment demandé aux instances d'initier des études in vivo en situation réelle, puisqu'aucune étude de ce type n'a été menée à ce jour.
Tatoueurs et tatoués sont extrêmement demandeurs d'informations et de transparence, nous espérons donc qu'une telle "alerte" ne suscitera pas des décisions arbitraires prises dans la précipitation.
Là encore, il faut insister sur les risques réels de dérive des pratiques de tatouage, avec la multiplication exponentielle et non contrôlée des tatoueurs clandestins, hors tout cadre légal, à domicile ou dans des lieux non conformes, et au mépris de toutes les règles d’hygiène. Ces pratiques constituent une véritable menace pour l'art du tatouage et pour les professionnels qui souffrent de cette concurrence déloyale, ainsi que des conséquences de ces dérives sur le plan médiatique et sociétal.
Le risque sanitaire y est pourtant démultiplié puisque ces non professionnels opèrent avec des encres non identifiables et totalement écartées dans ce travail non exhaustif de l'UFC.
Concerné et engagé, le SNAT est, comme toujours, prêt à travailler avec les instances nationales et internationales pour faire naître ensemble des recommandations justes, efficaces et sécurisantes pour les tatoueurs et leurs clients, afin de recourir à ces pratiques de tatouage en toute responsabilité.
aurelio a écrit : L'eglise remise au centre du village
Oui et non l'ami

Les afficionados du tatoo (comme on dit dans le milieu) défendent leur fond de commerce c'est bien chose normale, le mal est fait le doute subsiste et restera dans les esprits.
Ausii beau soit-il un tatouage n'est jamais chose anodine, il convient d'être vigilant avec les produits chimiques utilisés.
Attendons la suite des réglementations à venir

Pascal75 a écrit :aurelio a écrit : L'eglise remise au centre du village
Oui et non l'ami
Les afficionados du tatoo (comme on dit dans le milieu) défendent leur fond de commerce c'est bien chose normale, le mal est fait le doute subsiste et restera dans les esprits.
Ausii beau soit-il un tatouage n'est jamais chose anodine, il convient d'être vigilant avec les produits chimiques utilisés.
Attendons la suite des réglementations à venir:):thumbup: