Je suis bien triste car je pensais à lui aujourd'hui en rempotant mes Bonsaï avec quelques uns de ses outils et craignais le pire.
Je réagis avec retard mais quelle importance?
Au courant des détails de sa pathologie dés le départ, puisqu'il s'était confié à moi, il m'a surpris, montrant que le malade n'est pas la maladie. Il a continué à vivre et peur en sont capables.
Que de bons souvenirs avec cet homme là, même si je me suis isolé du monde Porsche, passant mon temps sur mes vieilles motos (tout en gardant ma tuerie!)
Il était un coeur palpitant injustement incompris parfois alors qu'il suffisait de l'entendre battre et tout était clair.
Bises tendres et toutes simples.