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Voui, avec plein de cylindres dedans.
Mais j'ai aussi une 2cv
Ce qui veut dire que, si le hasard de la vie m'a fait croiser l'auteur de cette magnifique video, alors que j'étais à son volant, il a du avoir une haute estime et le plus grand des respects pour mon humble personne.
Et ça c'est bon:P
[Édite le 2-11-2011 par Civique]

Mais j'ai aussi une 2cv
Ce qui veut dire que, si le hasard de la vie m'a fait croiser l'auteur de cette magnifique video, alors que j'étais à son volant, il a du avoir une haute estime et le plus grand des respects pour mon humble personne.

Et ça c'est bon:P
[Édite le 2-11-2011 par Civique]
Membre


Ben, moi, franchement, ça ne me choque pas plus que ça...
Non pas que je sois d'accord avec ce qui est dit, bien au contraire. Par contre, il le revendique haut et fort, c'est de la poésie. Et à partir de ce moment, j'accepte la license poétique. Et ce qui est intéressant, dans ce texte, c'est que à chaque fois, il énonce le "leitmotiv", puis il enchaîne une assertion tout aussi contestable. Finalement, il met en parallèle le fait de posséder une ferrari avec la révolution française (véritable boucherie), avec versailles (plus royaliste tu meurs), avec action directe, avec l'accident de Senna (comme il le dit, pas en Ferrari), et ce qui en ressort, à mon avis, c'est plutôt une critique des jugements faciles à l'emporte-pièce, et des lieux communs que la beaufitude ambiante dit (ou pense) en voyant une ferrari. Mais à chaque fois, il ouvre une porte, en disant, j'ai peut-être tort... J'aurais dit in fine que il s'agit d'un poème torturé, produit par un auteur tout aussi torturé, qui devant un objet de désir, oscille entre envie et rejet, dans une sorte de parallèle avec la Fontaine et ses raisins.
Non, les gars, ne me demandez pas ce que j'ai fumé !
Mais j'aime la poésie...
BB
Non pas que je sois d'accord avec ce qui est dit, bien au contraire. Par contre, il le revendique haut et fort, c'est de la poésie. Et à partir de ce moment, j'accepte la license poétique. Et ce qui est intéressant, dans ce texte, c'est que à chaque fois, il énonce le "leitmotiv", puis il enchaîne une assertion tout aussi contestable. Finalement, il met en parallèle le fait de posséder une ferrari avec la révolution française (véritable boucherie), avec versailles (plus royaliste tu meurs), avec action directe, avec l'accident de Senna (comme il le dit, pas en Ferrari), et ce qui en ressort, à mon avis, c'est plutôt une critique des jugements faciles à l'emporte-pièce, et des lieux communs que la beaufitude ambiante dit (ou pense) en voyant une ferrari. Mais à chaque fois, il ouvre une porte, en disant, j'ai peut-être tort... J'aurais dit in fine que il s'agit d'un poème torturé, produit par un auteur tout aussi torturé, qui devant un objet de désir, oscille entre envie et rejet, dans une sorte de parallèle avec la Fontaine et ses raisins.
Non, les gars, ne me demandez pas ce que j'ai fumé !

BB
Message original : Bruno Brazil
Ben, moi, franchement, ça ne me choque pas plus que ça...
Non pas que je sois d'accord avec ce qui est dit, bien au contraire. Par contre, il le revendique haut et fort, c'est de la poésie. Et à partir de ce moment, j'accepte la license poétique. Et ce qui est intéressant, dans ce texte, c'est que à chaque fois, il énonce le "leitmotiv", puis il enchaîne une assertion tout aussi contestable. Finalement, il met en parallèle le fait de posséder une ferrari avec la révolution française (véritable boucherie), avec versailles (plus royaliste tu meurs), avec action directe, avec l'accident de Senna (comme il le dit, pas en Ferrari), et ce qui en ressort, à mon avis, c'est plutôt une critique des jugements faciles à l'emporte-pièce, et des lieux communs que la beaufitude ambiante dit (ou pense) en voyant une ferrari. Mais à chaque fois, il ouvre une porte, en disant, j'ai peut-être tort... J'aurais dit in fine que il s'agit d'un poème torturé, produit par un auteur tout aussi torturé, qui devant un objet de désir, oscille entre envie et rejet, dans une sorte de parallèle avec la Fontaine et ses raisins.
Non, les gars, ne me demandez pas ce que j'ai fumé !Mais j'aime la poésie...
BB
La vache!!!!:o

Ca me fait penser à cette oeuvre d'art à Quebec, près du St Laurent, qui représente (je raccourcis) un tas de cubes empilés.
Pour moi l'art doit susciter une émotion, la poésie aussi, à partir du moment ou il faut faire une analyse philosophique poussée, réfléchir quoi, pour comprendre,ça ne m'émeut plus.
Quand tu admires un paysage qui te laisse pantois , un tableau qui te scotche, ou que tu écoutes une musique qui te fait frissonner, tu ne réfléchis pas, si c'est industriel, pareil, ce n'est pas de l'art pour moi.
Enfin, j'avoue que je n'y connais rien, je déguste l'art comme la cuisine, c'est bon, ou c'est pas bon, et pis c'est tout!:D
Message original : Bruno Brazil
Ben, moi, franchement, ça ne me choque pas plus que ça...
Non pas que je sois d'accord avec ce qui est dit, bien au contraire. Par contre, il le revendique haut et fort, c'est de la poésie. Et à partir de ce moment, j'accepte la license poétique. Et ce qui est intéressant, dans ce texte, c'est que à chaque fois, il énonce le "leitmotiv", puis il enchaîne une assertion tout aussi contestable. Finalement, il met en parallèle le fait de posséder une ferrari avec la révolution française (véritable boucherie), avec versailles (plus royaliste tu meurs), avec action directe, avec l'accident de Senna (comme il le dit, pas en Ferrari), et ce qui en ressort, à mon avis, c'est plutôt une critique des jugements faciles à l'emporte-pièce, et des lieux communs que la beaufitude ambiante dit (ou pense) en voyant une ferrari. Mais à chaque fois, il ouvre une porte, en disant, j'ai peut-être tort... J'aurais dit in fine que il s'agit d'un poème torturé, produit par un auteur tout aussi torturé, qui devant un objet de désir, oscille entre envie et rejet, dans une sorte de parallèle avec la Fontaine et ses raisins.
Non, les gars, ne me demandez pas ce que j'ai fumé !Mais j'aime la poésie...
BB
En substance, il "pardonne" à un joueur de foot, à un torero ou un gagnant du loto de rouler en Ferrari, sinon les autres ce sont tous des "enc*lés.
C'est ça, la licence poétique?