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Beugs a écrit : Petite pause après 2h de route
La 1ere aire après Rennes était bondée, je n'ai pas osé m'y arrêter : voitures garées à touche touche , pas envie de prendre un coup de portière!
Péage de la gravelle...
1h apres : le mans
donc là il est sur chartres :lol:
très belle auto de reve !! magnfique
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Enregistré le : 08 sept. 2007, 19:18
Me voilà arrivé à bon port ... 
500 kms , à moins de 3500 tours comme recommandé. Bon, j'avoue, je suis monté à 4000/4500 vers la fin
Que dire... ? C'est évidemment un peu court (dans les tours) pour apprécier pleinement ce fabuleux moteur. Quoique... des 3000/3500 tours, accélérateur à mi course, on a déjà un son comme on les aime, qui ne peut sortir que d'un atmo !
Ça donne envie d'aller très vite au bout des 1000 kms de rodage pour monter un peu plus haut (mon CP m'a en effet indiqué que 1.000 kms de rodage suffisaient...)
Le retour de Lorient s'est fait mi-soleil mi-pluie : juste de quoi sentir que sur route grasse il faut avoir le pied léger, même en n étant pas en mode sport !
Les sièges baquet sont bien plus confortables sur long trajet que ce que j'imaginais , une bonne surprise , et ils maintiennent évidemment super bien.
Bref, que du plaisir, et une ÉNORME envie de rouler, de rouler, de rouler ...
Ceci dit, pour ce soir on va s'arrêter là : un coup de jet sur la belle, et hop dans son garage. Sans sa housse pour l instant car elle est encore humide
500 kms , à moins de 3500 tours comme recommandé. Bon, j'avoue, je suis monté à 4000/4500 vers la fin
Que dire... ? C'est évidemment un peu court (dans les tours) pour apprécier pleinement ce fabuleux moteur. Quoique... des 3000/3500 tours, accélérateur à mi course, on a déjà un son comme on les aime, qui ne peut sortir que d'un atmo !
Ça donne envie d'aller très vite au bout des 1000 kms de rodage pour monter un peu plus haut (mon CP m'a en effet indiqué que 1.000 kms de rodage suffisaient...)
Le retour de Lorient s'est fait mi-soleil mi-pluie : juste de quoi sentir que sur route grasse il faut avoir le pied léger, même en n étant pas en mode sport !
Les sièges baquet sont bien plus confortables sur long trajet que ce que j'imaginais , une bonne surprise , et ils maintiennent évidemment super bien.
Bref, que du plaisir, et une ÉNORME envie de rouler, de rouler, de rouler ...
Ceci dit, pour ce soir on va s'arrêter là : un coup de jet sur la belle, et hop dans son garage. Sans sa housse pour l instant car elle est encore humide
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Enregistré le : 08 sept. 2007, 19:18
Tu fais bien de me le rappeler, je voulais en effet revenir sur le sujet :
Marc Vidal, de Paintshield, a fait un travail absolument remarquable. Le film est vraiment invisible, aucun défaut de pose, c'est magnifique.
Je ne peux que chaudement le recommander. En plus il est particulièrement sympa, il s'est arraché pour trouver un créneau dispo qui me convienne et il est allé jusque Lorient effectuer l'opération. Chapeau à ce Pro, on aimerait en trouver plus souvent de semblables !
Marc Vidal, de Paintshield, a fait un travail absolument remarquable. Le film est vraiment invisible, aucun défaut de pose, c'est magnifique.
Je ne peux que chaudement le recommander. En plus il est particulièrement sympa, il s'est arraché pour trouver un créneau dispo qui me convienne et il est allé jusque Lorient effectuer l'opération. Chapeau à ce Pro, on aimerait en trouver plus souvent de semblables !
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Enregistré le : 08 sept. 2007, 19:18
Tu fais bien de me le rappeler, je voulais en effet revenir sur ce sujet :
Marc VIDAL, de Paintshield a fait un travail absolument remarquable: le film est vraiment invisible, aucun défaut de pose c'est vraiment magnifique ! En plus il est vraiment très sympa, il s'est arrangé pour trouver un créneau dispo qui me convienne et il est allé jusque Lorient effectuer la pose. Je le recommande vraiment chaudement !
Marc VIDAL, de Paintshield a fait un travail absolument remarquable: le film est vraiment invisible, aucun défaut de pose c'est vraiment magnifique ! En plus il est vraiment très sympa, il s'est arrangé pour trouver un créneau dispo qui me convienne et il est allé jusque Lorient effectuer la pose. Je le recommande vraiment chaudement !
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Enregistré le : 17 janv. 2016, 10:27
Beugs a écrit : Tu fais bien de me le rappeler, je voulais en effet revenir sur ce sujet :
Marc VIDAL, de Paintshield a fait un travail absolument remarquable: le film est vraiment invisible, aucun défaut de pose c'est vraiment magnifique ! En plus il est vraiment très sympa, il s'est arrangé pour trouver un créneau dispo qui me convienne et il est allé jusque Lorient effectuer la pose. Je le recommande vraiment chaudement !
Je n’étais pas inquiet. A la hauteur de sa réputation! Merci pour le rex
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Enregistré le : 08 sept. 2007, 19:18
loren a écrit : Magnifiquebravo pour la boite meca
Déjà, il faut se réhabituer à manier le levier
En ce qui me concerne ma dernière boite méca sur une sportive (ou même sur mon daily..) date de 2011, à l'époque une 997 turbo. Depuis ce ne fut que boîte auto, séquentielle, double embrayage...Donc un léger temps de réadaptation. Mais ça revient vite :)
Et vous savez quoi : c'est franchement un vrai plaisir de faire tous ces mouvements pour passer une vitesse plutôt que juste une pichenette sur la palette ! Et quand on relâche rapidement l'embrayage, qu'on réaccélère, cet instant on l'apprécie, on sent la voiture bondir, le son du moteur qui remonte dans les tours en partant de plus bas qu'avec une boite auto où les rapports passent quasiment sans baisse de régime, c'est vraiment un plaisir qu'on avait oublié, et c'est bien bon :):D
Alors évidemment ça passe moins vite qu'avec une PDK, mais si on ne recherche pas à tout prix le chrono mais plutôt les sensations, alors aucun regret que ce choix de la boite méca.
Et, au passage, ça réapprend à bien passer les vitesses AVANT le point de braquage
Car avec une PDK c'est si facile qu'on en arrive à passer les vitesses en plein virage !Le double rétrogradage en mode Sport est également bien sympa, même si les pros regretteront de ne pas le faire eux mêmes. Ce n'est pas mon cas donc j'en profite
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Beugs a écrit :A ce propos, quelques premières impressions sur cette boite mécaloren a écrit : Magnifique
Déjà, il faut se réhabituer à manier le levier
Donc un léger temps de réadaptation. Mais ça revient vite :)
Et vous savez quoi : c'est franchement un vrai plaisir de faire tous ces mouvements pour passer une vitesse plutôt que juste une pichenette sur la palette ! Et quand on relâche rapidement l'embrayage, qu'on réaccélère, cet instant on l'apprécie, on sent la voiture bondir, le son du moteur qui remonte dans les tours en partant de plus bas qu'avec une boite auto où les rapports passent quasiment sans baisse de régime, c'est vraiment un plaisir qu'on avait oublié, et c'est bien bon :):D
Alors évidemment ça passe moins vite qu'avec une PDK, mais si on ne recherche pas à tout prix le chrono mais plutôt les sensations, alors aucun regret que ce choix de la boite méca.
Et, au passage, ça réapprend à bien passer les vitesses AVANT le point de braquage
Le double rétrogradage en mode Sport est également bien sympa, même si les pros regretteront de ne pas le faire eux mêmes. Ce n'est pas mon cas donc j'en profite
ça transpire la vive émotion, le plaisir brut. De sacrées machines à sensations ces GT3
Et féloche pour la tienne au passage
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Enregistré le : 08 sept. 2007, 19:18
DanGT2 a écrit : Dommage je ne la vois pas inscrite au Bugatti
Un vrai régal à chaque fois, et je suis pourtant loin d'être un pro.
Promis je vous fais un compte rendu plus long bientôt avec photos
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Enregistré le : 08 sept. 2007, 19:18
Voilà presque 1 an que j’ai accompli ce rêve, une GT3. Et il faut bien avouer que j’ai très peu témoigné sur le forum tout ce que la belle a su m’apporter au cours de ces 12 premiers mois de vie commune. Je vais donc essayer de me rattraper !
J’ai malheureusement peu de temps disponible pour cette passion, je ne roule que quelques heures les week-ends, et donc dans un premier temps le rodage a duré un certain temps, voire un temps certain… J’ai tenu à respecter les 3.000 kms de rodage avant de mettre les roues sur piste, même si certains considèrent qu’on peut y aller dès 2.000 kms. Mais je ne voulais prendre aucun risque. D’où rodage de novembre à … juin !
Entre temps j’ai néanmoins pu faire deux sessions au Porsche Experience Center du Mans pour peaufiner ma technique sur circuit : l’une est celle offerte lorsque vous achetez une Porsche neuve, ils vous offrent une journée au PEC sur un véhicule identique à celui que vous avez commandé. Il s’agit surtout d’une série d’ateliers (drift, évitement, contre braquage, virage rapide, etc), et quelques tours sur piste (circuit Maison Blanche) à la fin de la journée. Me concernant, ils n’avaient pas encore reçu de 991 GT3 mk2, j’ai donc fait la journée au volant d’une… 911 R ! Je me suis ensuite offert une deuxième session, dénommée « stage coaching », celle-ci à bord d’une GT3, boite manuelle comme la mienne, et là toute la journée sur le Bugatti (35 tours, en 5 ou 6 sessions) avec un moniteur à ses côtés. Je conseille à ceux qui veulent progresser dans leur conduite sur piste, une journée vraiment bien utile pour apprendre à la fois le circuit et à maîtriser la bête.
Fin juin, rodage terminé, le jour même des 3.000 kms j’étais au Bugatti avec ma belle bleue, à l’occasion d’un « Tinseau Days ». Super ambiance et organisation top, Christophe hyper sympa, je recommande vraiment !
Fin août, je retournais au Bugatti, cette fois à nouveau avec le PEC mais pour un stage coaching avec ma propre voiture.
Donc à ce stade « seulement » trois jours de piste sur cette GT3 mk2, deux avec la mienne et une avec celle du PEC.
Que puis-je vous en dire…?
En un seul mot : magique. Non, plutôt … sensationnel. Ou alors … addictif. Ou encore…
Je ne suis absolument pas un pro de la piste, disons un amateur qui tourne entre 2 et 4 fois par an sur circuit. J’ai donc encore de très, très grandes marges de progrès (j’ai commencé sur la GT3 au Bugatti à plus de 2’, après 3 sessions j’en suis à 1’56’’ ).
Mais même pour un amateur comme moi, le plaisir est vraiment immense, pour peu qu’on ait compris un minimum les « règles du jeu » de l’auto, notamment les transferts de masse, qui somme toute sont celles de toutes les 911, mais en plus pointu.
En vrac :
La direction est hyper précise. L’auto se place au millimètre à l’entrée de virage sur les freins, et on sent vraiment bien le travail des roues arrières directrices.
Les accélérations en sortie de virage sont toujours progressives, ni brutales ni piègeuses. L’allonge est… sans fin, jusqu’à ces fameux 9.000 trs/mn. Il faut d’ailleurs un peu de temps pour s‘habituer et ne pas passer trop tôt le rapport supérieur. Ceci dit pas besoin non plus d’aller absolument chercher les dernières centaines de tr/mn. Sur ce chapitre je dirais qu’il manque ce que l’on trouve dans beaucoup de modèles sportifs d’autres marques : des LEDs au tableau de bord ou sur le volant qui vous permettent de savoir que vous approchez de la zone rouge sans quitter la route des yeux. Je n’ai jamais (pour l’instant) tapé le rupteur, mais un tel dispositif est tout de même bien pratique, bizarre que Porsche ne le propose pas.
Le freinage est puissant à l’attaque, très facile à doser en dégressif, et très endurant. Je précise que j’ai gardé les freins acier, largement suffisants à mon sens en endurance : j’enchaine 6 à 7 tours de Bugatti, pas plus, puis 1 tour de refroidissement, et à ce rythme je n’ai eu absolument aucun signe d’affaiblissement des freins.
Enfin, parlons des sensations. Ce chapitre est le plus important pour moi, ce que je recherche avant tout avec mes voitures, plus que la performance car je sais que je ne serai jamais un pro de la piste, ce sont les sensations et le plaisir. Et sur ce plan, il faut bien dire que la GT3 mk2 gâte bien son conducteur :) ! Même avec un casque, le son du flat 6 atmo qui grimpe dans les tours est vraiment un monument. Et je ne vous dit pas alors sur routes ouvertes sans casque… Les poils se dressent à chaque accélération ! Et ayant opté pour une boite manuelle, la sensation de faire corps avec la machine est totale, bien aidée aussi par les excellents sièges baquets.
Pour finir, un mot sur la polyvalence : quel plaisir de pouvoir rejoindre le circuit par la route, faire 30 ou 40 tours de piste et repartir ensuite comme si de rien n’était… Juste la pression des pneus à adapter tout au long de la journée, c’est tout.
Vous m’aurez compris, même si j’ai été silencieux sur le forum durant cette première année, je n’en ai pas moins des images, des sons et des sensations plein la tête. Et une seule hâte, pouvoir remettre les roues de ma belle sur une piste !
Et maintenant quelques photos pour illustrer tout ça.
!J’ai malheureusement peu de temps disponible pour cette passion, je ne roule que quelques heures les week-ends, et donc dans un premier temps le rodage a duré un certain temps, voire un temps certain… J’ai tenu à respecter les 3.000 kms de rodage avant de mettre les roues sur piste, même si certains considèrent qu’on peut y aller dès 2.000 kms. Mais je ne voulais prendre aucun risque. D’où rodage de novembre à … juin
! Entre temps j’ai néanmoins pu faire deux sessions au Porsche Experience Center du Mans pour peaufiner ma technique sur circuit : l’une est celle offerte lorsque vous achetez une Porsche neuve, ils vous offrent une journée au PEC sur un véhicule identique à celui que vous avez commandé. Il s’agit surtout d’une série d’ateliers (drift, évitement, contre braquage, virage rapide, etc), et quelques tours sur piste (circuit Maison Blanche) à la fin de la journée. Me concernant, ils n’avaient pas encore reçu de 991 GT3 mk2, j’ai donc fait la journée au volant d’une… 911 R
! Je me suis ensuite offert une deuxième session, dénommée « stage coaching », celle-ci à bord d’une GT3, boite manuelle comme la mienne, et là toute la journée sur le Bugatti (35 tours, en 5 ou 6 sessions) avec un moniteur à ses côtés. Je conseille à ceux qui veulent progresser dans leur conduite sur piste, une journée vraiment bien utile pour apprendre à la fois le circuit et à maîtriser la bête. Fin juin, rodage terminé, le jour même des 3.000 kms j’étais au Bugatti avec ma belle bleue, à l’occasion d’un « Tinseau Days ». Super ambiance et organisation top, Christophe hyper sympa, je recommande vraiment !
Fin août, je retournais au Bugatti, cette fois à nouveau avec le PEC mais pour un stage coaching avec ma propre voiture.
Donc à ce stade « seulement » trois jours de piste sur cette GT3 mk2, deux avec la mienne et une avec celle du PEC.
Que puis-je vous en dire…?
En un seul mot : magique. Non, plutôt … sensationnel. Ou alors … addictif. Ou encore…
Je ne suis absolument pas un pro de la piste, disons un amateur qui tourne entre 2 et 4 fois par an sur circuit. J’ai donc encore de très, très grandes marges de progrès (j’ai commencé sur la GT3 au Bugatti à plus de 2’, après 3 sessions j’en suis à 1’56’’ ).
Mais même pour un amateur comme moi, le plaisir est vraiment immense, pour peu qu’on ait compris un minimum les « règles du jeu » de l’auto, notamment les transferts de masse, qui somme toute sont celles de toutes les 911, mais en plus pointu.
En vrac :
La direction est hyper précise. L’auto se place au millimètre à l’entrée de virage sur les freins, et on sent vraiment bien le travail des roues arrières directrices.
Les accélérations en sortie de virage sont toujours progressives, ni brutales ni piègeuses. L’allonge est… sans fin, jusqu’à ces fameux 9.000 trs/mn. Il faut d’ailleurs un peu de temps pour s‘habituer et ne pas passer trop tôt le rapport supérieur. Ceci dit pas besoin non plus d’aller absolument chercher les dernières centaines de tr/mn. Sur ce chapitre je dirais qu’il manque ce que l’on trouve dans beaucoup de modèles sportifs d’autres marques : des LEDs au tableau de bord ou sur le volant qui vous permettent de savoir que vous approchez de la zone rouge sans quitter la route des yeux. Je n’ai jamais (pour l’instant) tapé le rupteur, mais un tel dispositif est tout de même bien pratique, bizarre que Porsche ne le propose pas.
Le freinage est puissant à l’attaque, très facile à doser en dégressif, et très endurant. Je précise que j’ai gardé les freins acier, largement suffisants à mon sens en endurance : j’enchaine 6 à 7 tours de Bugatti, pas plus, puis 1 tour de refroidissement, et à ce rythme je n’ai eu absolument aucun signe d’affaiblissement des freins.
Enfin, parlons des sensations. Ce chapitre est le plus important pour moi, ce que je recherche avant tout avec mes voitures, plus que la performance car je sais que je ne serai jamais un pro de la piste, ce sont les sensations et le plaisir. Et sur ce plan, il faut bien dire que la GT3 mk2 gâte bien son conducteur :) ! Même avec un casque, le son du flat 6 atmo qui grimpe dans les tours est vraiment un monument. Et je ne vous dit pas alors sur routes ouvertes sans casque… Les poils se dressent à chaque accélération ! Et ayant opté pour une boite manuelle, la sensation de faire corps avec la machine est totale, bien aidée aussi par les excellents sièges baquets.
Pour finir, un mot sur la polyvalence : quel plaisir de pouvoir rejoindre le circuit par la route, faire 30 ou 40 tours de piste et repartir ensuite comme si de rien n’était… Juste la pression des pneus à adapter tout au long de la journée, c’est tout.
Vous m’aurez compris, même si j’ai été silencieux sur le forum durant cette première année, je n’en ai pas moins des images, des sons et des sensations plein la tête. Et une seule hâte, pouvoir remettre les roues de ma belle sur une piste
!Et maintenant quelques photos pour illustrer tout ça.
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Enregistré le : 17 janv. 2016, 10:27