Lectures pour le WE, entre 2 romans policiers....
Article "Reporterre",
journal écolo indépendant remettant en cause la voiture électrique...
https://reporterre.net/Derriere-la-voitu...-des-GAFAM
(faisant suite aux 2 précédents
https://reporterre.net/Non-la-voiture-el...ecologique "la voiture électrique n'est pas écologique"
et
https://reporterre.net/La-voiture-electr...on-miniere ," la voiture électrique cause une importante pollution minière")
Je me demande depuis le début qui, quel consortium, quel groupement, quel minorité agissante nous lobotomise, et nous fait payer (par des prix incroyables de vente) une recherche pas écologique...
Une piste :
Extraits :
Derrière la voiture électrique, l’empire des Gafam
Pour vanter son supposé caractère écolo, les promoteurs de la voiture électrique s’appuient sur des performances inexistantes (Surtout, ils la placent au cœur d’un système de mobilité centré sur la voiture autonome, donc l’intelligence artificielle.)
Cet article est le troisième et dernier de notre enquête consacrée à la voiture électrique. Le premier volet s’intéresse aux émissions de gaz à effet de serre : « Non, la voiture électrique n’est pas écologique » ; le second à la dépendance aux métaux : « La voiture électrique cause une énorme pollution minière ».
On l’a vu,
les véhicules électriques sont loin d’être un substitut magique permettant de limiter la catastrophe environnementale. Leur fabrication émet environ deux fois plus de gaz à effet de serre que leurs équivalents thermiques et génère beaucoup plus de pollutions toxiques du fait de la quantité bien supérieure de métaux qu’ils contiennent
......La technologie des véhicules électriques n’est pas encore aboutie, mais ce n’est qu’en les diffusant dans la société qu’ils vont s’améliorer, explique-t-il.
Bref, fabriquons des voitures électriques en masse en tablant sur le fait qu’elles s’amélioreront demain. Mais n’est-ce pas ce genre de raisonnements, fondés sur la confiance dans le développement technologique, qui nous ont amenés dans l’impasse écologique actuelle ?
.....regroupement d’entreprises (Uber, Engie, Blablacar…) qui a soumis au gouvernement ses propositions pour « réinventer la mobilité à l’horizon 2030 » [1]. Car, du fait de leur motorisation et de leurs batteries, les véhicules électriques favorisent la transition vers des véhicules sans conducteur, pilotés par des capteurs et des algorithmes, dont ils sont l’une des briques technologiques.
....De plus, le véhicule autonome est à peu près l’inverse de la sobriété. Pour passer d’un « simple » véhicule actuel à un véhicule autonome capable de se conduire et de se garer tout seul, il faut une quantité non négligeable d’équipements supplémentaires : caméras, lidars, radars et des centaines d’autres capteurs permettant de remplacer la perception et la conduite humaines. En plus des conséquences écologiques de la production très intensive en métaux et en produits chimiques de cette électronique de pointe, il faudra alimenter ces voitures en électricité. « Tout le monde est d’accord sur le fait que les véhicules autonomes seront très voraces en électricité,......
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Est-il possible de lutter contre le réchauffement climatique en subventionnant l’industrie automobile et les start-up du numérique ? Non ? Alors il est encore temps de prélever quelques milliards du plan de soutien à l’automobile pour, par exemple, développer la recherche sur les mobilités low tech, subventionner les réparateurs de vélos et réhabiliter les vieilles lignes de train, dont l’infrastructure est déjà en place et amortie depuis des décennies.