Déjà 9 pages! pas le temps de lire, je suis invité sur le net, il ne faut pas que j'abuse.
TOU RIS TIQUE qu'il avait martelé le Beb.
Parfait pour moi qui attaquait vaillamment mes quatre milles kilomètres en 4s, les premiers.
Je remercie au passage tous les membres pour leur accueil et l'esprit très club de la sortie.
Le groupe s'est parfois disloqué et c'est ainsi, que par pur hasard j'ai découvert le tourisme sauce Flatazor, avec une perception toute particulière de la visite des sites retenus, que j'ai d'ailleurs oublié, ou pas vu, ou l'inverse, je ne sais plus!
Après un carrefour ou l'itinéraire semblait hasardeux, je me suis retrouvé en cinquième position derrière Bruno , trois ou quatre furieux de tête emmenés par Flatazor, et talonné par Vincent.
Bruno, rapidement monopolisé par une vraisemblable consultation téléphonique, s'est rangé, et Vincent aux trousses, j'ai tenté de recoller au peloton de tête.
Avec le meilleur de mon approximatif talent et de ma volonté la plus déterminée, je n'ai pu que constater mon impossibilité à combler l'écart qui se creusait à la sortie de chaque virage.
J'ai compris à ce moment là, que nous avions accumulé un certain retard sur le reste de la formation, et que les furieux s'employaient au mieux à résorber celui-ci.....
Après un temps plus ou moins long à rythme soutenu, il m'a bien fallu admettre que soit, l'on étaient perdus, ou le gros de la troupe marchait vraiment très fort.
Heureusement pour moi, sagement suivi par Vincent, j'arrivais périodiquement à recoller, grâce à l'aide providentielle de quelques « déplaçoirs » égarés sur la trajectoire des missiles précédents.
Finalement, au col « ou il faisait vachement froid, même sous ma nappe » ou la raison imposait une halte pour savoir « maisouskilssontdoncpasséslesautres », il s'avérait que le téléphone Arverne nous informait d'une avance de ¾ d'heure sur l'horaire et fatalement sur le groupe auquel les subtilités du Tourisme sauce Flatazor avait visiblement échappé, à savoir,joindre un point « A » à un point « X » en posant un pneu effarouché à proximité des étapes remarquables, en les dédaignant et, sans déranger, s'enfuir immédiatement comme une volée de roquettes sans demander son reste.
Cette escapade je l'ai bien appréciée, et il ne m'échappe pas que j'ai encore d'immenses progrès à faire avant de pouvoir suivre avec la maîtrise et la sénérité qui s'impose, sans avoir à freiner bien avant qu'il ne le soit necessaire et sortir des virages à la vitesse d'un gastéropode convalescent, contrairement à cette grand-mère en 2.4 l, impériale!
Merci à tous et plus particulièrement à Beb et Clo pour cette organisation sans failles, on reviendra.