Citation :Message original : Oggy
et merci à mon copi Mcbel pour avoir tout supporté sans broncher pendant ces 4 jours, maintenant il aime les classics c'est le principal (3ème connerie en vue ? ).
Première fois que je posais mon séant dans une Classic et il s'en souviendra
Comment résumer ces quatre jours ?
- de la nouveauté pour moi
(un comble pour des Classic
)
- une organisation de haute volée : merci Jean-Marie et François
. Merci pour votre accueil
- La route Napoléon en nocturne qui fera partie des souvenirs indélébiles (plus que le Red Bull qui fait pshitt ! dans le noir à 1h du mat en pleine montagne
)
- une ambiance chaleureuse dès 11h30 vendredi
- la découverte d'un coin à plaisirs où ça tourne, ça monte, ça descend, ça monte, ça glisse et le tout sous un grand soleil
(la main cramponnée à l'accoudoir
)
- des marins d'un jour croisés, leurs casquettes vissées sur la tête
- un transat pour l'apéro face aux pistes (le relevé fut difficile)
- une reconnaissance inattendue (à vivre au moins une fois)
Merci à toi Oggy pour le poste de copaillote et la découverte de la conduite d'une Classic
mais pas de 3ème connerie en vue, du moins, pas tout de suite
Allez, place aux photos dans un ordre plus ou moins chronologique
Jeudi soir
Départ hôtel le vendredi matin
Vue du parking de la Laiterie du Col Bayard
Le lendemain samedi quelque part avant le drame
Après avoir constaté samedi vers 13h00 que nous n’avions croisé personne et après que j’eusse feuilleté en arrière le road-book, je découvris avec horreur que nous étions en train de faire l’étape du dimanche matin
. Ambiance électrique (le terme est volontairement choisi), nous essayions de comprendre le pourquoi du comment de ce bug… Après un moment de flottement, la copaillote repris ses tables de calculs, un compas, une carte IGN et il en vint à la conclusion que nous étions loin, très loin de pouvoir déjeuner avec le groupe
.
Pour couronner le tout chaleur, grande faim, soif, nous allions dépérir dans une épingle loin de tout point de vie (= bar
) car dans la descente vers le barrage, Oggy s’écria « putain j’ai plus rien ! ». La 911 était passée en mode Autolib. Arrêt en catastrophe dans une épingle sous le cagnard. Ouverture du capot avant et là… Le jerrican d’essence (désormais proscrit si mon séant de copaillote est posé dans la 911
), se baladait au grès des virages et a fini par péter la boite à fusibles. McGyver sortit sa caisse à outils et trouva le moyen de réparer
Un coup de fil au Préz et à Jean-Marie et nous convînmes de nous retrouver à la pause prévue vers 16h30.
Il ne nous restait plus qu’à retrouver tout le monde au Chamois d’Or en montant le Col de la Bonette dans un sens et de le refaire dans l’autre sens en groupe.
Les retrouvailles du Secrétaire avec le Préz furent des plus chaleureuses, difficile de résister à croquer ce moment émouvant
Col de la Bonette
Descente du Col de la Bonette
Dimanche matin
Dernière étape officielle avant le retour pour certains et le déjeuner à Gap pour d’autres
Les vidéos suivront dans les prochains jours le temps d'uploader tout ça