C'est simple, je rentre tard du boulot, fatigué, et puis... Je me douche, je sors ma superfrog pour une virée de 20-30 bornes : l'odeur du cuir, le ... comment dire... Oooomph du turbo , le toucher de la route, les rondeurs de la belle... Et là, je prend toujours la meme claque. La vie merite d'être vecue au volant de cette legende.
Je laisse les specialistes de la machine te parler techno. Moi, les 408 bourrins, je les caresse presque tous les soirs de la semaine, je leur fais prendre le large le week-end et ce n'est pas prêt de s'arrêter.
Cette porsche est addictive, une maladie inccurable